Revue de presse / Presserevue

 

 

 

 

D'Lompe sténke bei Luxtram.

Cela sent la dictature chez Luxtram.

 

 

Gratuit, le concept qui ne paie pas

Nouvelle époque pour les transports publics

 

PAR THIERRY LABRO

 

Les transports publics seront gratuits, a annoncé la coalition hier après-midi. Ce choix est davantage porté par les libéraux et les socialistes que par les écologistes, qui préfèrent parler de qualité. La victoire du modèle estonien, moins efficace que le modèle suisse? Comparaison.

 

Les transports publics seront gratuits au Luxembourg. Tour à tour, hier après-midi, chacun des représentants des trois partis engagés dans la future coalition ont confirmé cette mesure, principalement pour des «raisons sociales» a même indiqué le ministre de la Justice, Félix Braz. Tour à tour, ils ont aussi confirmé le poursuite des investissements massifs au service de la qualité.

 

L'Estonie s'est engagée sur la voie du gratuit dès janvier 2013 à Tallinn. Avec son identité numérique, le résident de la capitale estonienne peut obtenir une «green card» contre 2 euros et voyager librement. Les autorités municipales ont renoncé à 12 millions d'euros de recettes annuelles pour se lancer dans l'aventure, promise par différents partis politiques depuis 2005, afin d'aider les habitants les plus démunis ou pour les sociaux-démocrates jusqu'à la lutte contre les bouchons pour le centre-droit. La hausse des voyageurs, cette année-là, a été uniquement due à l'utilisation, par ceux qui se déplaçaient jusque-là à pied, des bus et autres trams de la capitale estonienne, le trafic automobile n'a pas diminué. En cinq ans, le nombre de voitures a même augmenté de 44 % en Estonie. Elles émettent 60 % des émissions de CO2 du pays contre 6 % pour les transports publics à Tallin. «Pourtant, le nombre de trajets a augmenté de 4 à 5 % par an», note le responsable des Affaires européennes de la Ville de Tallinn, Allan Alaküla. «En 2017, 142 millions de voyages ont été effectués en bus, tram et trolleybus» après des rénovations du réseau et du matériel. A titre indicatif, 100 millions de voyages en transports publics ont été enregistrés au Luxembourg en 2016.

 

La Suisse, neuf ans d'avance sur le Luxembourg

 

Au bord de la mer Baltique, ce choix politique a été étendu à toute l'Estonie cet été, onze des quinze régions administratives offrent l'utilisation du bus.

 

La mesure n'a pas d'impact sur le climat, hurle déjà le principal parti d'opposition. Le Parti de la réforme, des libéraux de centre-droit, a promis d'y mettre fin s'il remporte les élections législatives de mars 2019.

 

L'impact a été bénéfique... parce qu'il a incité 31.000 personnes de plus à s'installer à Tallinn, répondent les autorités de la capitale.

 

Dans d'autres pays, le Canada, les Etats-Unis ou même la France où des discussions sont en cours à Paris, les analyses sont très prudentes avec l'intérêt de la gratuité tant en termes social qu'environnemental.

 

L'Estonie, ce n'est pas le modèle de référence du ministre luxembourgeois des Transports, fait savoir son cabinet. Mais plutôt la Suisse, champion d'Europe avec 2.439 kilomètres en train par habitant et par an contre 1.391 en Autriche (2e) et 1.373 en France (3e). La distance parcourue par les trains, trams et bus a augmenté de plus de 30 % entre 2000 et 2016. Les trains, les trams et les bus sont plus fréquents, plus rapides, plus directs (moins de changements) et circulent la nuit. Entrées à plan- cher bas, systèmes d’information de la clientèle, prises électriques: l'offre s'adapte à la demande des clients.

 

La Suisse avait même déjà atteint en 2016 un objectif similaire à celui que le Luxembourg poursuit pour 2025: 52 % des «pendulaires», ceux qui vont de leur domicile à leur lieu de travail, utilisent leur voiture, 17 % le train, 14 % les transports publics sur la route, 8 % vont à pied et 7 % en vélo.

 

250 entreprises de transport, un titre unique

 

Comment les Suisses y sont parvenus? En améliorant le service et en cassant les prix. L'abonnement demi-tarif – créé en 1891, huit ans avant l'abonnement général – est passé de 360 à 100 francs suisses en 1987. Le Parlement suisse voulait favoriser son adoption pour des raisons environnementales.

 

En peu de temps, le nombre d'abonnements dépasse les trois millions. Trois quarts des 16-24 ans possèdent un des deux abonnements et plus de 50 % des voyageurs plus âgés et l'utilisent pour les 37 kilomètres qu'ils parcourent chaque jour.

 

250 entreprises (!) délivrent un seul titre de transport, avec un rabais de distance qui peut atteindre jusqu'à 25 %. L'abonnement à «Service direct» fonctionne sur les 24.000 kilomètres des transports publics suisses. Un seul élément met un bémol à cette situation idéale: interrogés en 2015 dans le cadre du «Microrecensement mobilité et transports», 52.000 personnes donnent les trois mêmes raisons pour préférer la voiture aux transports publics ou l'inverse. C'est la solution la plus simple (43,9 % pour la voiture, 41,8 % pour les transports publics), il n'y a pas d'alternative (23,3 %-31,1 %) et le temps de déplacement est plus court (22,9 %-13,8 %). Les bagages plaident pour la voiture, le confort, le coût, les habitudes, l'environnement, l'abonnement et le stationnement pour les transports publics.

 

Pour améliorer l'offre, le Conseil fédéral a lancé en décembre 2017 une «Etape d’aménagement de l’infrastructure ferroviaire 2030/35», qui prévoit 11,5 milliards de francs suisses (10 milliards d'euros) d'investissements jusqu'à cette date.

 

On ignore encore le montant que la future coalition luxembourgeoise investira de son côté mais les trois partis ont reconnu l'importance d'accompagner la gratuité d'une amélioration du service.


Luxemburger Wort vom Freitag, 30. November 2018, Seite 14 (29 Views)

 

 

Transport collectif gratuit.

 

 

 

Sozialkonflikt bei Luxtram spëtzt sech ëmmer weider zou

OGBL a Landesverband hunn um Dënschdeg de Moien annoncéiert op d'Conciliatioun ze goen.


Vum Sandy Schmit (RTL.lu)

Wéi den OGBL an de Landesverband elo an engem Schreiwes präziséieren, huet d'Luxtram-Direktioun op Zäit gespillt. Mam Sozialkonflikt, dee sech do géif annoncéieren, sollt bis no de Parlamentswalen am Oktober gewaart ginn.

A ville Verhandlungsronne mat der Direktioun vu Luxtram wär een net weiderkomm. Eng reell Upassung vun de Léin bei Luxtram un den ëffentlechen Déngscht a besonnesch besser, méi sëcher Aarbechtskonditioune géife vun der Direktioun ignoréiert ginn.

D'Gewerkschaften hunn d'Salariéë vu Luxtram SA den 3. Oktober iwwert den aktuelle Stand vun de Verhandlungen informéiert, déi déi lescht Propose vun der Direktioun, den Ufanksgehalt z'erhéijen, eestëmmeg refuséiert hunn. Fir si wieren d'Aarbechtskonditioune weiderhin net ze toleréieren. Och bei Verbesserunge vun den Ufanksgehälter, géif déi allgemeng Gehälterstruktur awer nach ëmmer wäit ënnert de gefuerderten Upassunge wéi déi am ëffentlechen Déngscht leien.

Wéi et weider am Schreiwes heescht, géif d'Direktioun mat hirem sture Verhalen e Sozialkonflikt reegelrecht provozéieren. Et géif deemno kee Wee méi laanscht d'Conciliatioun féieren an d'Salariéë wiere sech bewosst, dass mat engem weideren Echec do näischt méi laanscht e Streik féiert.

Elo wier et e leschten Appell un déi nei Regierung an un d'Stad Lëtzebuerg, z'intervenéieren. Si kéinte sech net méi aus de Verhandlungen eraushalen, sollt et zu engem oppene Sozialkonflikt kommen, respektiv, wann et wéinst ze laange Schichten an ze kuerze Rouphasen zu engem Accident komme sollt. Et wier scho virkomm, dass Tram-Chauffere wéinst Middegkeet oder Iwwelzegkeet hätte missen ofgeléist ginn. Net verwonnerlech, wann een hiren Aarbechtsplang géif kucken - Schichtufank um 9.18 a Schluss um 21.50 Auer. Dat sinn 12 an eng hallef Stonnen, d'Amplitude bei den CFL zum Beispill läit bei maximal 10 Stonnen.

Sozialkonflikt bei Luxtram: OGBL und Landesverband befassen das Schlichtungsamt

Nach einer letzten von mehreren Verhandlungsrunden am 27. September 2018, ignorierte die Direktion von Luxtram SA, die vom Personal geforderte legitime Anpassung ihrer Lohn- und Arbeitsbedingungen an die guten und sicheren Standards, wie sie im öffentlichen Dienst angewandt werden. Die Direktion schlug den Gewerkschaften nur minimale Erhöhungen bei den Einstiegsgehältern vor.

Allem Anschein nach spielte die Tram-Direktion auf Zeit. Auf Geheiß von oben sollte ganz offensichtlich der Ausbruch des sich anbahnenden Sozialkonfliktes bis nach den Parlamentswahlen vom 14. Oktober 2018 hinausgeschoben werden.

OGBL und FNCTTFEL-Landesverband informierten die Belegschaft von Luxtram SA am 3. Oktober über den letzten Stand der Verhandlungen. Die Belegschaft lehnte einstimmig die neuen Vorschläge der Direktion ab. Sie ließ sich nicht von den Scheinzugeständnissen der Direktion blenden. Die Arbeitszeitbedingungen bleiben nach wie vor unannehmbar. Trotz der vorgeschlagenen Verbesserungen der Einstiegsgehälter bleibt die allgemeine Gehälterstruktur noch immer weit unter den geforderten Anpassungen an die üblichen Lohnbedingungen im öffentlichen Dienst.

Sowohl die Belegschaft als auch die Gewerkschaften kamen zum Schluss, dass die Direktion kein reales Interesse an einer konsequenten Verbesserung der Arbeits- und Gehälterbedingungen zeigt. Die Belegschaft bedauerte, dass die sture Haltung der Direktion den Sozialkonflikt bei Luxtram SA geradezu provoziere. Der Gang zum Schlichtungsamt sei unumgänglich und bedeute die letzte Chance, um einen Sozialkonflikt bei Luxtram SA. zu verhindern.

Die Belegschaft ist sich voll bewusst, dass durch ein Scheitern der dort stattfindenden Verhandlungen ein Streik bei Luxtram SA unumgänglich wird.

Ein letzter Appel werde an die neue Regierung und die Gemeinde Luxemburg gerichtet. Diese können sich nicht aus ihrer Verantwortung stehlen, sollte es zum einem offenen Sozialkonflikt kommen respektive wenn aufgrund der überlangen Schichtdauer und der kurzen täglichen Ruhepausen es zu einem Unfall kommen sollte, was keiner hofft. Immerhin mussten bereits Tramfahrer während ihrer Schicht, wegen Müdigkeit und Unwohlsein abgelöst werden. Dies ist nicht verwunderlich, wenn, wie aus einem Schichtplan hervorging, die Schicht um  9.18 Uhr beginnt und um 21.50 Uhr endet !

Auf den Einwand der Gewerkschaften gelegentlich einer Verhandlungsrunde, die tägliche Ruhepause von 11 Stunden sei nicht ausreichend für Trambedienstete, die einen langen Arbeitsweg zu ihrer Arbeitsstätte in Kauf nehmen müssen, erwiderte der Tramdirektor, diese Bediensteten könnten eine Wohnung in Luxemburg beziehen. Dies dürfte mit den aktuellen Löhnen, die bei der Tramgesellschaft bezahlt werden, bis auf Weiteres unmöglich sein.

OGBL und FNCTTFEL-Landesverband verlangen nichts Unmögliches. Sie fordern eine Angleichung der Arbeits- und Lohnbedingungen bei LUXTRAM an diejenigen, wie sie bei den andern öffentlichen Transportbetrieben in Luxemburg üblich sind. Es kann nämlich keinem einleuchten, weshalb die Trambediensteten schlechtere Lohnbedingungen haben sollen als die Busfahrer der Stadt Luxemburg respektive schlechtere Arbeitsbedingungen als die Lokführer bei der Eisenbahn.

OGBL und FNCTTFEL-Landesverband appellieren jetzt schon an die Trambenutzer Verständnis zu zeigen, sollte sich ein offener Sozialkonflikt bei LUXTRAM als unvermeidbar erweisen.

www.rtl.lu, 13. November 2018


Kommentar :
  Ech fannen dem Luxtram-Direkter séng Ausso äusserst zynesch, d'Personal kënnt jo eng (deier) Wunneng zu Lëtzebuerg (= an der Stad?) lounen/kafen.

Natierlech ass et gradesou eng riseg Enttäuschung an e Skandal, wéi an dësem Fall d'Aktionäre vu Luxtram, de Staat an d'Stad Lëtzebuerg sech behuelen. De Staat also deen duerch de gréngbloe Bausch vertrueden ass, an d'Stad Lëtzebuerg duerch d'Lydie Polfer. Do gesäit een, dass de Bausch net wierklech drun interesséiert ass, dass d'Leit bei Luxtram anstänneg Aarbechtsconditiounen hunn. De Bausch verréit permanent séng sozialistesch Jugendidealer. Hien huet sech ëm 180 Grad gedréint. Awer dat schéine verschidde Leit nach net gemierkt ze hunn.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

Tramausbau geht in die nächste Phase


Luxemburg. Seit dem 27. Juli dieses Jahres fährt die Tram von der Luxexpo bis zur Place de l'Etoile. Bis Ende 2020 soll sie dann bis zum Hauptbahnhof führen und vier Haltestellen anfahren. Im Zuge der Erweiterung der Strecke starten am Montag nun die Vorbereitungsarbeiten im Stadtzentrum, in der Avenue Emile Reuter und der Avenue de la Liberté. Dabei werden unter anderem die Baustelle eingerichtet, die Bushaltestellen verlegt, eine provisorische Ampelanlage installiert und diverses Stadtmobiliar entfernt. Um die bestehenden unterirdischen Leitungen zu verlegen beziehungsweise durch neue Infrastrukturen zu ersetzen, werden – wie bereits vor einiger Zeit angekündigt – die Bäume entlang der Avenue de la Liberté entfernt. Später sollen dort neue Platanen gepflanzt werden. In der ersten Phase werden nun die Bäume zwischen der Place de Metz und der Rue Schiller entfernt. Vom 5. November an werden deren zehn entlang eines Fahrradweges in Aspelt verpflanzt. Auf der Place de Paris müssen acht Bäume weichen, während die restlichen an der Avenue bis zum Ende des Jahres entfernt werden. Um die Auswirkungen der Arbeiten auf den Verkehr zu reduzieren, wird überwiegend nachts gearbeitet. Der Geräuschpegel soll dabei auf ein Minimum reduziert werden.

 

Ein Team von zwei Mediatoren wird unter anderem den Anrainern oder Lieferanten zur Verfügung stehen, um die aktuellen Informationen zur Baustelle weiterzugeben. Zu erreichen sind sie via Telefon 26 20 28 20. dho/nas


Luxemburger Wort vom Samstag, 27. Oktober 2018, Seite 29

 

 

 

23.09.2018

 

Les élections législatives du 14 octobre 2018 approchent ...

 

Dans son programme électoral le parti libéral DP fait preuve de courage en proposant une extension rapide du réseau de tram. Sous condition que les électeurs soutiennent le parti, le rail pourrait même fêter son retour dans la cité de Saint Willibrord. Les autres partis semblent plus réservés sur ce point.

 

 

 

 

 

 

Was kommt nach der Tram ?

 

Das Luxemburger Wort macht sich Gedanken :

 

Künstliche Intelligenz

 

Ist es Fortschritt, wenn selbstfahrende Busse fahren? Die Politik sieht der Entwicklung von künstlicher Intelligenz mit erschreckender Unbekümmertheit entgegen.

 

Seit gestern fahren in Contern und in Pfaffenthal selbstfahrende Busse. Nicht nur die Betreiber dieser Shuttles sind darauf mächtig stolz, auch die Politik, die sich gerne im Lichte einer modernen Mobilität sonnt. Ist es aber wirklich ein Fortschritt, wenn Technik den Menschen abschafft?

Aus der Sicht der Wirtschaft - ja. Die Industriezone in Contern ist nicht direkt an den Bahnhof angebunden, und deshalb muss ein Zubringerbus die letzte Meile überbrücken. Da tagsüber die Busse nur halbwegs ausgelastet sind, lässt sich diese Strecke nicht kostendeckend befahren. Daher der autonome Shuttle, der auf lange Sicht billiger und flexibler ist. Die Lohnkosten fallen weg, und der selbstfahrende Bus steht 24 Stunden am Tag bereit.

Für Nutzer und Betreiber ist es eine Win-win-Situation: Der eine bekommt mehr Mobilität, der andere schreibt schwarze Zahlen. Nur der Busfahrer bleibt auf der Strecke. Sein Job verschwindet.

 

An diesem Beispiel lässt sich leicht ausmalen, wohin Digitalisierung und künstliche Intelligenz führen werden. Kognitive Fähigkeiten erlauben es einer Maschine, Dinge auszuführen, die bislang nur den Menschen vorbehalten waren. Was aber machen in Zukunft Millionen Taxi-, Bus- und Lkw-Fahrer rund um die Welt, wenn das autonome Fahren zum Standard wird? Was wird aus Briefträgern, wenn die Auslieferung mit fahrerlosen Autos oder gar mit Drohnen stattfindet? Die Arbeitslosigkeit wird steigen.

 

Doch ein solcher Wandel ist nicht neu. Erfindungen haben auch früher schon Arbeit überflüssig gemacht, an anderer Stelle neue Arbeitsplätze aber entstehen lassen, wodurch am Ende die Gesellschaft insgesamt sogar wohlhabender wurde. Zukunftsforscher befürchten nun aber, dass es diesmal anders ausgehen wird. Die Digitalisierung lässt ganze Dienstleistungsketten ins Internet abwandern, etwa den Buchhandel, das Reisebüro, die Hotelreservierung, ohne dass dadurch neue Stellen entstehen.

Aber auch Produktionsprozesse lassen sich so dematerialisieren. Der Türschlüssel wird in Zukunft zu einer App, und die Hersteller der Schlüssel, aber auch die Fabrikanten der Maschinen, die bislang Schlüssel produziert haben, werden verschwinden.

 

Schlimmer noch: Roboter werden zu Menschen. Mit künstlicher Intelligenz können Maschinen heute bereits menschliche Mimik auswerten und dementsprechend reagieren. Forscher sind auch dabei, Roboter mit menschlicher Mimik zu entwickeln, die dann Gefühle simulieren und dem Menschen die Illusion geben, der Roboter sei mehr als nur eine kluge Maschine.

Vor zwanzig Jahren prophezeite der Österreicher Hans Moravec in seinem Buch „Computer übernehmen die Macht“, dass die Menschheit einmal die Maschine als ihren Nachkommen betrachten werde. Das wäre dann die definitive Entmenschlichung der Gesellschaft. Was aber, wenn die künstliche Intelligenz die natürliche überflügeln wird? Selbstlernende Computer, die nicht von Menschen gefüttert werden, sondern sich permanent weiterentwickeln, gibt es bereits heute.

 

Künstliche Intelligenz revolutioniert den Alltag, nimmt den Menschen Arbeit ab – aber auch weg. Die autonomen Shuttle-Busse in Contern und Pfaffenthal sind nur Fallbeispiele. Die Politik sieht dieser Entwicklung allerdings mit erschreckender Unbekümmertheit entgegen – das Thema künstliche Intelligenz steht in Luxemburg in keinem Wahlprogramm.

 

Marc Thill, www.wort.lu, 20. September 2018

 

 

 

 

Die Tram kommt an

Stäreplaz, Schueberfouer, Kirchberg: Fahrgäste nutzen die Straßenbahn auf ganzer Linie

 

VON BETTY GILLEN

 
Es sind nur 1,3 Kilometer, doch sie sind ein wichtiger Schritt. Seit Kurzem fährt die Tram nun auch über die Rote Brücke bis zur Stäreplaz, an dem eine weitere Umsteigeplattform entsteht. Damit rückt die Tram näher ans Stadtzentrum – und fährt an der Schueberfouer vorbei.

 

Es ist ruhig morgens gegen 9 Uhr in der Tram, als sie sich von der Stäreplaz in Richtung Luxexpo auf den Weg macht. Nur das leise Rollen der Bahn ist zu hören, aus den Lautsprecher ertönen einige Takte Musik, dann die Namen der Haltestellen – Etoile, Faïencerie, Theater. Die meisten der Fahrgäste sind unterwegs zu ihrem Arbeitsplatz in Kirchberg. Viele sind in sich gekehrt, vielleicht einfach noch müde, konzentrieren sich auf ihr Smartphone. Durch das farbige Glas der Türen strahlt die Morgensonne und taucht das Innere der Bahn in grünes, blaues oder lilafarbenes Licht.

 

Seit einem Monat nun fährt die Tram nicht mehr nur über das Kirchberg-Plateau, sondern vom Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall aus weiter, den Glacis entlang bis zur Stäreplaz und nähert sich damit endlich dem Stadtzentrum.

 

Noch ist an der neuen Endhaltestelle Stäreplaz nur wenig los. Das wird sich bald ändern, denn: In zwei Wochen wird dort die neue Umsteigeplattform mitsamt Busbahnhof in Betrieb genommen, gleichzeitig werden die Busfahrpläne angepasst. Dann wird es Fahrgästen aus dem Westen des Landes möglich sein, dort in die Tram Richtung Kirchberg umzusteigen. 17 bis 20 Minuten dauert die Fahrt von der Stäreplaz bis zur Luxexpo, in den Spitzenstunden starten die 45 Meter langen Züge, die bis zu 420 Passagieren Platz bieten, alle sechs bis sieben Minuten. So kann die Tram fast 10 000 Fahrgäste pro Stunde in beide Fahrtrichtungen befördern.

 

Ein Kommen und Gehen

 

Bei der Umsteigeplattform an der Roten Brücke füllt sich die Tram. Die meisten sind kurz zuvor mit der Standseilbahn angekommen, die die neue Eisenbahnsteige unten in Pfaffenthal mit dem Kirchberg-Plateau verbindet. Ein junger Mann schaut kurz auf, sucht einen freien Platz. Er wird fündig, schlägt sein Buch auf und versinkt in der Lektüre.

 

Andere Passanten sind bereits etwas sportlicher unterwegs, Sam steigt mit seinem Fahrrad zu. Den Rest seines Weges legt er lieber mit der Straßenbahn zurück: „Sonst komme ich total verschwitzt ins Büro.“

 

An den folgenden Stopps Richtung Luxexpo steigen immer mehr Fahrgäste aus, kaum neue kommen noch hinzu. Bei der vorletzten Haltestelle „Alphonse Weicker“ in der Nähe des Einkaufszentrums schließlich ist die Bahn praktisch leer.

 

Am Terminus dann die Durchsage aus der Fahrerkabine mit der Bitte, sich umzuschauen und nichts zu vergessen. Und das hat seinen Grund, wie Ricky Friedrichs, der Mann in der Fahrerkabine, erklärt: „Es bleiben relativ oft Sachen liegen. Manchmal gibt es Tage, an denen wir viel finden. In einer Woche können es circa sechs oder sieben Objekte sein.“

 

Die zusätzlichen 1,3 Kilometer zwischen Roter Brücke und Stäreplaz sind für ihn und seine Kollegen nicht das einzige Novum. Anders als auf dem Kirchberg- Plateau fährt die Tram vom Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall aus Richtung Innenstadt und zurück, ohne auf klassische Weise durch eine Oberleitung mit Strom versorgt zu werden. Wie Tramfahrer Ricky Friedrichs erklärt, findet sich an jeder der auf diesem Abschnitt liegenden Stationen ein drittes Gleis im Boden. Wenn er dort andockt, wird die Tram mit Strom versorgt – und schafft es bis zur nächsten Haltestelle.

 

Der Passagier bekommt von diesen Tankstopps nichts mit. Eine völlig neue technische Lösung, die später auch auf der Strecke zwischen Stäreplaz und Hauptbahnhof eingesetzt wird.

 

Anpassungen für die Fouer

 

Für Christiane aus Echternach ist die Verlängerung der Strecke bis nah ans Stadtzentrum heran ein großer Fortschritt. Die junge Frau arbeitet in Kirchberg, fährt im Alltag mit der Straßenbahn und jetzt auch gerne in der Mittagspause ins Zentrum. „Davor musste man immer umsteigen“, erklärt sie.
Positiv überrascht ist sie von den Sicherheitsmaßnahmen, die wegen der Schobermesse auf dem Glacisfeld getroffen wurden; während des Rummels fährt die Tram dort nur eingleisig.

 

Eine Sicherheitsfirma passt darauf auf, dass die Leute nicht einfach so auf das Gleis laufen und sich in Gefahr bringen. Tramfahrer Ricky Friedrichs beobachtet, dass zurzeit viel mehr Menschen mit der Tram unterwegs sind als gewöhnlich und bestätigt die Erwartungen von Luxtram. Aus diesem Grund wurden die Fahrpläne angepasst: Wochentags verkehrt die Tram zurzeit bis 1.30 Uhr, am Wochenende sogar bis 2.30 Uhr morgens.

 

Die Schueberfouer dauert noch bis zum 11. September, nach dem Abbau wird die Tram auf dem Glacis wieder auf beiden Gleisen rollen. Sie wird den Platz wohl auch brauchen, weil mit der Eröffnung des Pôle d'échange Stäreplaz pünktlich zur Rentrée dann viele weitere Passagiere hinzukommen.

Luxemburger Wort vom Samstag, 1. September 2018, Seite 21

 

 

Verbindendes Element

Zukünftige Brücke über die Autobahn ermöglicht direkten Anschluss des Ban de Gasperich an Kockelscheuer


Stück für Stück wird über der A 6 jenes Bauwerk geschaffen, das nicht nur den Ban de Gasperich mit Kockelscheuer verbinden wird, sondern auch das vorläufige Endstück der Tramstrecke darstellen wird. Der Brückenbau wird in den kommenden Wochen umgesetzt.

 

Ohne Zweifel: Die Fahrt auf der Autobahn A 6, zwischen dem Cessinger und dem Gaspericher Kreuz, ist gerade zu den Hauptverkehrszeiten kein Zuckerschlecken. Seit Monaten müssen die Autofahrer sich über eine umgeleitete und verengte Fahrbahn schlängeln, um sich in diesem Bereich fortzubewegen. Unterwegs, inmitten der Fahrbahn, erwartet die Verkehrsteilnehmer dann doch ein etwas kurioses Bild. Mitten auf der Straße befinden sich Betonpfeiler. An den Rändern der Autobahn jeweils vier weitere.

 

Das Besondere dabei: Hierbei handelt es sich um eine weite- re Verbindung hinsichtlich des Ausbaus der Tramstrecke. Ist die Straßenbahn nämlich erst ein- mal am Hauptbahnhof der Stadt Luxemburg angekommen, wird die Trasse über den Pont Buchler in Richtung Gare périphérique Howald fortgesetzt. Von dort wird die Strecke via die Rue Albert Einstein über den Boulevard Kockelscheuer zu der vorläufigen Endhaltestelle beim neuen nationalen Fußball- und Rugbystadion in Kockelscheuer führen. Im Bereich der Endhaltestelle der Tram nahe dem Stadion werden denn auch ein Park & Ride mit 1 981 Stellplätzen sowie ein Busbahnhof eingerichtet.

 

Die Verbindung vom Ban de Gasperich über die Autobahn A 6 erfolgt über jene neue Brücke, deren massive Betonpfeiler derzeit in diesem Bereich in die Höhe ragen.

 

Aufbau in vier Phasen

 

Das Bauwerk wird das Bild vor Ort deutlich verändern. Die Brücke besteht vorwiegend aus einer Metallstruktur, wobei die Fahrbahnplatte aus Fertigelementen aus Stahlbeton gebaut wird. Sie erstreckt sich auf einer Länge von 137 Metern über die Autobahn. Mit einer Breite von 27,3 Metern wird sämtlichen Mobilitätsformen auf der Fahrbahn ausreichend Platz eingeräumt. Inmitten der Brücke werden sich zwei Spuren für die Tram befinden. Seitlich davon entstehen jeweils zwei Spuren für den normalen Verkehr. Fußgänger und Fahrradfahrer werden sich einen breiter gestalteten Gehweg teilen müssen.

 

Der Aufbau der Metallstruktur erfolgt in vier Etappen entlang der Autobahn, unweit des künftigen Stadions. Die ersten beiden Phasen stehen bereits in der kommenden Woche an. Aus diesem Grund wird die Autobahn denn auch vom Freitag, dem 24. August, bis zum Montag, dem 27. August, in Höhe des Gaspericher Kreuzes gesperrt.

 

Wie es vonseiten der Straßenbauverwaltung, die dieses Projekt umsetzt, heißt, folgt die nächste Phase bereits in der darauffolgenden Woche – vom 31. August bis zum 3. September. Auch dann wird die A 6 in diesem Bereich nicht befahrbar sein. Die Montage des letzten Abschnitts wird dann aber keine Auswirkungen auf den Verkehr haben. Trotz einer weiteren Sperrung vom 14. bis zum 17. September dürften viele Autofahrer aufatmen. An diesem Wochenende wird die Umleitung nämlich abmontiert.

 

Etwas später als geplant

 

Sind diese Arbeiten an dem Bauwerk erst einmal abgeschlossen, müssen sich die Verkehrsteilnehmer doch noch etwas gedulden, bis sie diese neue Verbindung nutzen können. Die Eröffnung der Brücke ist nämlich voraussichtlich erst im Sommer 2019 vorgesehen. Von dann an bedeutet dies zumindest für die Autofahrer bereits freie Fahrt.

 

Die Erweiterung der Tramstrecke zwischen dem Hauptbahnhof und Cloche d'Or erfolgt allerdings etwas später als geplant. Ursprünglich war vorgesehen, dass dieser Abschnitt schon 2021 fertiggestellt sei. Man rechnet nun aber damit, dass dies erst im ersten Halbjahr 2022 der Fall sein wird. Grund dafür ist unter anderem die nötige Instandsetzung des Pont Buchler. Wegen des hohen Verkehrsaufkommens auf der Brücke sowie der Zugstrecke unter der Brücke kann dort nur zu bestimmten Zeiten gearbeitet werden.

 

Die komplette Tramstrecke wird übrigens 16,4 Kilometer lang sein. Die Fahrtzeit vom Flughafen Findel bis zum nationalen Fußball- und Rugbystadion in Kockelscheuer beträgt 40 Minuten.

Luxemburger Wort vom Donnerstag, 16. August 2018, Seite 15

 

 

 

D'Weiche falsch gestallt

 

Wat soll mat där eideler Gare um Findel geschéien? Ass et net traureg, datt dës Fro iwwerhaapt gestallt muss ginn? Wéi vill Steiergelder sinn duerch dat inkonsequent Hin an Hier a Saachen Ausbau vum Schinnennetz ewell zur Fënster erausgehäit ginn? Bekanntlech war eng Eisebunnsstreck vum Iergäertchen bis erop op de Findel an dann op de Kierchbierg geplangt. E Projet vun 390 Milliounen Euro (Gesetz vum 18. Dezember 2003), deen zwar gestëmmt, awer net realiséiert ginn ass.

 

Leider ass duerch eng kuerzsiichteg Politik, déi am Tram duerch d’Stad d’Léisung vun eise Verkéiersproblemer gesinn huet, d’Geleeënheet verpasst ginn, Neel mat Käpp ze maachen, an d’Eisebunnsnetz un d’Erausfuerderunge vum 21. Jarhonnert unzepassen. De Schummer-Plang, dee virgesinn huet, fir eis Eisebunnsstrecken ënner der Stad erduerch mateneen ze verbannen (inklusiv enger Zuel vun Haltestellen) war a bleift dee richtegen Usaz an hätt eng enorm Verbesserung par Rapport zum Tram bruet.

 

Am Schummer-Plang war net virgesinn, vun der Waasserbëlleger Streck bei Minsbech eng Ofzweigung direkt op de Findel ze bauen. Dës Variant hätt et erlabt, fir um kierzte Wee mam Zuch op de Findel, duerno bei d'Foire, an dann, entspriechend dem Schummer-Plang, ënner dem Kierchbierg an dem Stadzentrum erduerch bis op d’Gare ze fueren an natierlech och ëmgedréit, an dobei op en etlech Plazen erauszeklammen. D’Nordstreck wär am Pafendall mat dëser RER-Streck verbonne ginn.

 

Et kann een dergéinthalen, datt d'Eisebunnsstreck op de Findel an den RER-Tunnel ënner der Stad mat deene betreffenden Arrête vill Geld kascht hätt. Mee wéi vill ass dann elo schonn investéiert ginn a gëtt nach investéiert, ouni datt mer eng wierklech Verbesserung vun der Situatioun erwaarde kënnen?

 

An dës Solutioun wär, op déi nächst fofzeg Jar gerechent, jiddefalls méi bëlleg ginn, well mer eis den Tram inklusiv Betribskäschten hätte spure kënnen.

 

Fazit: D’Weiche si falsch gestallt ginn, a Lëtzebuerg huet déi eemoleg Chance verpasst, fir sech e Konzept vun ëffentlechem Transport ze ginn, wat den Erausfuerderunge vun der Zukunft gewuess ass. Den Tram ass en deiert Plooschter op e gebrachent Been a keng Äntwert op eisen Haaptproblem, nämlech déi vill Pendler sou wäit wéi méiglech komfortabel a séier iwwer d’Schinn op hir Destinatioun ze bréngen.

 

Et ass d’Folleg vun enger ideologesch gefierfter Politik, déi refuséiert huet, d’Vir- an Nodeeler vun där enger an där anerer Léisung sachlech a wëssenschaftlech fundéiert géinteneen ofzeweien an d’Vollek an engem Referendum ëm seng Meenung ze froen. D’Vollek däerf blechen, soll awer net decidéieren. Do schéngt déi schéi gréng Basisdemokratie buchstäblech ënner den Tram geroden ze sinn. De Schued ass kaum nach gutt ze maachen, et sief, eng spéider Regierung hätt de Cou- rage, d’Eisebunn dach nach esou auszebauen, wéi et richteg an néideg ass.

 

Roby Mehlen, Éirendeputéierten

 

Luxemburger Wort vom Samstag, 11. August 2018, Seite 12

 

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Kommentar :  An engem fräie Land huet selbstverständlech jiddereen d'Recht, séng Meenung ze soen. Allerdings zerwéiert den ADR-Mann Mehlen eis kale Kaffi. De "Schummer-Plang"  - net ze verwiessele mam Schuman-Plang vun 1950 betreffend d'Kuelen- an d'Stolindustrie  - ass ewell laang begruewen.

 

Wann d'Weiche falsch gestallt goufen, da war et beim Statut vun de Luxtram-Mataarbechter. Mä do sinn ech mer net sëcher, ob den ADR d'accord gewiescht wier, fir dëse Leit de Statut vu Gemengebeamten ze ginn, oder fir se mat den Eisebunner gläichzestellen.

 

Vläicht ass et jo dat Bescht, den Här Mehlen bleift och no de Wahlen am Oktober 2018 Éirendeputéierten.

 

Claude

 

 

Le vieux tram et son successeur

 

Dans son édition du 6 août 2018 le Luxemburger Wort publie un article sur le vieux tram qui a circulé jusqu'en 1964, et un autre article sur le prolongement de la ligne actuelle vers la Gare Centrale.

 

Pour lire l'article sur le vieux tram, cliquez  ICI.

 

Pour lire l'article sur le tram moderne, clique ICI.

 

 

"Unzumutbare Arbeitsbedingungen"

 

Mit einer Protestaktion am Rande der Einweihung der neuen Tramstrecke weisen die Gewerkschaften auf die schlechten Bedingungen der Luxtram-Beschäftigten hin.

 

Das Datum wurde nicht zufällig auf den 27. Juli gelegt. Für die Gewerkschaft OGBL und den FNCTTFEL-Landesverband ist die Einweihung der neuen Tramstrecke an der "Place de l'Etoile" der richtige Zeitpunkt, um auf die angeblich "schlechten Lohn- und Arbeitsbedingungen" bei Luxtram aufmerksam zu machen. Mit einem Mikrofon in der Hand steht Christian Sikorski in der Allée Scheffer und erklärt, warum sich die zahlreichen Mitarbeiter der Luxtram dort versammelt haben.

 

Während seine Kollegen Plakate mit der Aufschrift „Polfer a Bausch am Dumping-Rausch“ oder „Géint all Sozialdumping am öffentlichen Dengscht“ in der Hand halten, sagt der OGBL-Gewerkschafter: „Um das Projekt Tram in Luxemburg durchzuführen hat die Regierung die Wahl getroffen, den Betrieb und die Verwaltung des Trams einer Firma zu überlassen, die die Rechtsform einer kommerziellen Aktiengesellschaft hat. Der Staat besitzt aber zwei Drittel des Kapitals und die Stadt Luxemburg ein Drittel. Daher sehen wir Luxtram SA als einen vollwertigen öffentlich-rechtlichen Akteur an.“

 

Die Gewerkschafter beklagen, dass die Lohnunterschiede zwischen den Arbeitnehmern bei Luxtram SA und den Lohnstandards im öffentlichen Dienst "zwischen ungefähr minus 30 Prozent und minus 50 Prozent liegen". Der Unterschied beim Urlaub beträgt bis zu 11 Tage. "Wir liegen hier deutlich unter den Lohnstandards, die bei den CFL, beim TICE, bei den städtischen Bussen oder auch bei anderen Betrieben aus dem öffentlichem Dienstleistungssektor gültig sind", so Landesverband-Präsident Goerges Merenz. Hier betreibt "die öffentliche Hand Lohndumping in einer Firma, die dem öffentlichen  Sektor angehört. Es ist ein regelrechter Skandal", so Sikorski.

 

Zudem kann die Gesamtschichtdauer bis zu 13 Stunden täglich betragen wobei sie bei der staatlichen Eisenbahn bei maximal 10 Stunden liegt. "Der Tram-Fahrer muss allerdings gleichzeitig den Anforderungen eines Lokführers als auch eines Busfahrers gerecht werden", so Sikorksi. Daher sei es "unzumutbar, dass den Tramfahrern eine Gesamtschichtdauer von 13 Stunden auferlegt wird."

 

"Die jetzige Arbeitsorganisation bei Luxtram stellt ein Risiko für die Sicherheit der Arbeitnehmer und der Verkehrsteilnehmer dar", sagt Christian Sikorski.

 

„Wir haben die öffentlichen Behörden auf die Frage der Lohn- und Arbeitsbedingungen bei Luxtram angesprochen. Der zuständige Minister meint, es sei nicht seine Aufgabe, sich in die laufenden Kollektivvertragsverhandlungen eines privatrechtlichen Unternehmens einzumischen, auch wenn dieses mehrheitlich dem Staat gehört“, bedauert Christian Sikorski.

 

Die Gewerkschaften haben nun ein Treffen mit den Verantwortlichen der Stadt Luxemburg gefragt und „warten auf eine Antwort“.

 

www.wort.lu, 27. Juli 2018

 

 

Kommentar : So also stiehlt der grüne Bausch sich aus der Verantwortung. Er scheint sich seiner Sache ziemlich sicher zu sein, ein paar Monate vor den Wahlen, dass die Wähler ihm seinen neoliberalen Kurs verzeihen.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

Landesverband géint Luxtram

3 nei Tram-Arrêten: Aweiung ënner Protest

 

Vun elo u fiert den Tram iwwert de Glacis bis op d'Stäreplaz. E Freideg de Moien hunn déi eng gefeiert an déi aner protestéiert - géint de Sozialdumping.

 

 

Wärend e Freideg de Moien déi 3 nei Arrêten vum Tram an der Stad ageweit goufen, hunn d'Gewerkschafte Landesverband an OGBL mat engem Protestpiquet op d'Aarbechtskonditioune vun de Mataarbechter vu Luxtram opmierksam gemaach. Konditiounen, déi ongerecht a skandaléis wiere bei engem Betrib, deen zu zwee Drëttel dem Staat an engem Drëttel der Stad Lëtzebuerg gehéiert. D'Syndikater gesinn d'Politik kloer an der Verantwortung a wollte si e Freideg drun erënneren.

 

Et ass effektiv éischter eng Erënnerung, oder soe mer besser eng weider Etapp am Sozialkonflikt, well d'Reprochë sinn alles anescht wéi nei an dowéinst sinn d'Leit sou lues mat hirer Gedold um Enn. Zënter dem Ufank vun de Kollektivvertragsverhandlungen am November hunn OGBL a Landesverband ëmmer erëm drop opmierksam gemaach, datt d'Mataarbechter vu Luxtram bei de Paien an den Aarbechtsstonne méi schlecht gestallt sinn, wéi hir Pendanten op der Bunn oder de städtesche Bussen. Dobäi misst ee Luxtram kloer am ëffentlechen Déngscht gesinn, esou de Christian Sikorski, Generalsekretär vum Syndikat ëffentlechen Déngscht beim OGBL.

 

Net drobar, duerfir missten d'Paien un déi vum ëffentlechen Déngscht ugepasst ginn. An och bei den Aarbechtsstonnen wieren d'Tramschauffere benodeelegt. De President vum Landesverband Georges Merenz betount, bei den Tramschaufferen wier eng maximal Amplitude vun 13 Stonnen, bei der Bunn nëmme vun 10. Och bei der Rouzäit wieren der bei Luxtram nëmmen 11 virgesinn, bei der Bunn ganzer 14.

 

D'Mataarbechter vu Luxtram hunn iwwregens bis haut nach ëmmer kee Kollektivvertrag. De Sozialdialog mat der Direktioun wier nämlech äusserst schwiereg. De Georges Merenz ënnersträicht, dass all Kéier, wa si do wieren, géing vill geschwat ginn, géing awer net vill dobäi erauskommen an et wier ee gezwongen, fir ze streiken.

 

D'Direktioun hätt just wëllen den Tramschaufferen eppes Klenges an der Pai bäiginn, ma dat hätt d'Mataarbechter nach méi gespléckt an iwwert d'Aarbechtskonditioune wéilt d'Direktioun bis ewell guer net schwätzen.

 

D'Bereetschaft, fir ze streiken, wier op alle Fall do, déi wier iwwregens scho bei der Aweiung am Dezember do gewiescht, heescht et vu Landesverband an OGBL. Wat genee e Freideg geplangt ass, wollte si am Virfeld net verroden. Dem Christian Sikorski no wäert ee sech op alle Fall bemierkbar maachen, besonnesch och bei der Politik, déi sech bis elo och net besonnesch dialogbereet gewisen hätt. D'Politik misst agräifen an eppes maachen.

 

Eng Reunioun, déi fir e Mëttwoch geplangt war, ass kuerzfristeg ofgesot an op de September verréckelt ginn. D'Gewerkschaften hunn d'Gefill hei géif nëmmen op Zäit gespillt, wa méiglech bis no de Wahlen, an datt déi Responsabel elo fir d'Aweiung einfach keng schlecht Press wollten. Eent ass sëcher, den éischten Trajet vum Tram mat Passagéier erof op d'Stäreplaz wäerd vu rosene Gewerkschaftler begleet ginn. D'Leit solle gesinn, wat hannert de Kulisse leeft.

 

www.rtl.lu, 27. Juli 2018

 

 

 

 

Gewerkschafte fuerderen: "Stopp de Sozialdumping bei Luxtram!"

 

Ënnert deem Motto organiséieren d'Gewerkschafte Landesverband an OGBL iwwermuer e Protestpiquet an der Schefferallee. Vum Claude Zeimetz (Radio), k2 (RTL.lu)

 

E Freideg ginn nämlech déi  3 nei Tramsstatioune feierlech ageweit. Grond genuch, fir ëffentlech op déi intern Problemer vun de betraffene Salariéën opmierksam ze maachen.

 

 

Den 80 Mataarbechter vun der Firma Luxtram, virop den Tramschaufferen, ass wéinst hiren Aarbechtskonditiounen nämlech alles anescht, wéi fir ze feieren. De President vum Landesverband Georges Merenz an de Christian Sikorski vum OGBL schwätze carrement vun ongerechte Lounkonditiounen a skandaléisen Aarbechtskonditiounen, mat 13-Stonnendeeg, amplaz vun 10. Tëscht 7 an 11 Congésdeeg manner, wéi am ëffentlechen Déngscht an eng Differenz vun 30 bis 50 Prozent an der Pai an dat bei enger Entreprise, déi zu Zweedrëttel dem Staat an engem Drëttel der Stad Lëtzebuerg gehéiert. D'Gewerkschafte gesinn de Staat an d'Politik dowéinst an der Verantwortung a wëllen dat e Freideg och weisen. De Generalsekretär vum Syndikat vum ëffentlechen Déngscht vum OGBL Christian Sikorski :

 

D'Syndikater bleiwen derbäi, et wier vun Ufank un besser gewiescht, fir Luxtram an d'CFL z'integréieren. D'Bereetschaft vum Personal, fir iwwert de Protestpiquet eraus zu weidere gewerkschaftlechen Aktiounen ze gräifen, wann néideg bis hin zum Streik, déi wier op alle Fall do. Déi kleng Ouverture, déi d'Direktioun bis ewell a Saache Kollektivvertrag gemaach hätt, wier eng Farce a sëcher näischt, fir d'Gemidder ze berouegen, soe Landesverband an OGBL. Eng Reunioun, déi e Mëttwoch u sech mat der Direktioun geplangt war, ass iwwregens kuerzfristeg ofgesot ginn. Mam Argument, et wéilt een zu dësem Ament keng schlecht Press kréien, sou de Georges Merenz an de Christian Sikorski am RTL-Interview.

 

www.rtl.lu, 25.07.2018

 

Kommentar : Et hat ee jo awer séng "rout" a séng "gréng" "Frënn" an der Politik, wéi Luxtram gebuer gouf. Hunn dës geschlof, oder hu se hir Gewerkschaftskom'roden ugesch.... a verroden ?

 

Eng aner Fro déi ech mer stellen, betrëfft déi "schwaarz" "Frënn" : Wat soe si ? Wou ass iwwerhaapt déi "schwaarz" Gewerkschaft, wëll soen de Syprolux ?

 

Claude Oswald

 

 

 

https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-longwy/2018/07/15/villerupt-un-futur-tramway-nomme-desir

TRANSPORT
Villerupt : un futur tramway nommé désir

Ministre luxembourgeois du Développement et des Infrastructures, François Bausch a annoncé la création d’un tramway reliant Luxembourg-Ville à Esch. Alain Casoni se demande s’il ne pourrait pas aller jusqu’à Micheville.

Certes, le projet est encore loin. En fait, il est évoqué pour l’horizon 2035. Mais il pourrait régler bien des problèmes de mobilité au Luxembourg. Le ministre du Développement et des Infrastructures du Grand-Duché, François Bausch, a annoncé qu’à cette date, un tramway devrait relier Luxembourg-Ville à Esch-sur-Alzzette. De quoi désengorger l’A4, très encombrée aux heures de pointe.

Jusqu’à Villerupt ?


Alain Casoni, maire de Villerupt, a envoyé à ce sujet deux courriers au préfet de région, Jean-Luc Marx, et au président du conseil régional, Jean Rottner. Il interroge le représentant de l’État et l’élu sur les possibilités de travailler avec le Luxembourg pour que le projet ne s’arrête pas à la frontière, mais qu’il se poursuive un peu plus loin. C’est-à-dire à Villerupt ou Audun-le-Tiche. « Ce ne serait pas contradictoire d’avoir un tramway sur l’ensemble du territoire. Pourquoi devrait-il s’arrêter à la frontière ? », s’interroge le premier magistrat.

Plus de 15 000 habitants

« À l’horizon 2025-2030, les projets de développement économique et d’habitat programmés dans le cadre de l’Opération d’intérêt national (OIN) permettront un gain de 20 000 habitants. La population de Villerupt devrait franchir le cap des 15 000 habitants et celle de la communauté de communes du Pays-Haut Val d’Alzette devrait se rapprocher de la barre des 50 000 habitants », analyse Alain Casoni.

150 000 frontaliers

Le maire s’appuie également sur « le développement économique luxembourgeois et ses répercussions sur le travail frontalier tel qu’il est envisagé par les études prospectives réalisées de part et d’autre de la frontière. Une étude de l’agence d’urbanisme et de développement durable de Lorraine Nord estime à plus de 150 000 le nombre de travailleurs frontaliers français à l’horizon 2035 contre 95 000 actuellement ». Avec les problèmes de transport que tout le monde connaît.

Prolongation de la ligne ?

Pour Alain Casoni, il serait donc « pertinent de nous interroger et de réfléchir ensemble, Luxembourgeois et Français, aux différents moyens d’action, d’accompagnement ou de participation autour de ce projet novateur, afin de le prolonger jusque sur notre territoire ».

Bus en attendant

Par ailleurs, le maire villeruptien profite de l’occasion pour rappeler que « des bus à haut niveau de services sont en train d’être mis en place par la communauté de communes du Pays-Haut Val d’Alzette. Ceux-ci circuleront sur une voie réservée et assureront la liaison vers Esch-sur-Alzette et Luxembourg-Ville. Les fréquences seront adaptées ».

Reste à savoir si le souhait de voir le déjà fameux tram luxembourgeois à Micheville ne finira pas sur une voie de garage.

 

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(Journal, 17 juillet 2018)

 

 

 

Ein grünes Gleisbett für die Tram

 

Noch einen guten Monat dauert es, bis die Tram die Rote Brücke überquert und bis zur Stäreplaz verkehrt. Einen Vorgeschmack darauf, wie sie das Stadtbild verändern wird, gibt es auf dem Glacis schon jetzt.

 

Nanu, es wird ja richtig grün auf dem ansonsten so grauen Glacisfeld. Die Tram bahnt sich an – und wird in einer der beiden Richtungen über begrünte Tramgleise fahren.

 

 

Foto: Lex Kleren.

 

Auch entlang der Avenue Kennedy in Kirchberg ist das Gleisbett der Straßenbahn inzwischen ergrünt.

 

Wie auf dem Bild zu sehen, wird die Tram in Limpertsberg schon ohne Oberleitung unterwegs sein und an jeder Haltestelle via eine spezielle Ladeschiene im Boden mit Strom versorgt.

 

Das neue Verkehrsmittel soll sich auf diese Weise harmonisch in seine Umgebung einfügen und das Stadtbild aufwerten.

 

In Limpertsberg ist dies schon mal gelungen. Noch fährt die Tram hier aber lediglich zu Testzwecken auf und ab. Am 27. Juli nimmt sie auf diesem Streckenabschnitt den regulären Betrieb auf und verkehrt somit von der Luxexpo via den Pôle d'échange Rout Bréck-Pafendall bis zum Umschlagplatz Stäreplaz, auf dem ebenfalls ein Busbahnhof entsteht.

 

Zwischen dem 27. Juli und dem 16. September, Tag der Inbetriebnahme des Pôle d'échange Stäreplaz, dürfen Passagiere die Tram auf der gesamten Strecke  kostenlos nutzen.

 

Während der Schueberfouer muss sich die Straßenbahn auf dem Glacis aber mit nur einem Gleis begnügen.

 

Diane Lecorsais (www.wort.lu, 25.06.2018)

 

 

 

 

Per Express-Tram in den Süden

 

Eine Express-Tram entlang der Autobahn A4 soll künftig die Hauptstadt und den Süden des Landes "schnell und zuverlässig" miteinander verbinden. Am Montag stellte Infrastrukturminister François Bausch das Projekt eines "Séieren Tram" vor.

 

Eine Express-Tram eignet sich am besten für eine schnelle und performante Verbindung zwischen der Hauptstadt und dem Süden des Landes. Zu diesem Schluss kommen die Experten des deutsch-französischen Beratungsunternehmens Transport Technologie Consult Karlsruhe (TTK), die im Auftrag des Infrastrukturministeriums verschiedene Transportmittel für die Strecke Luxemburg-Esch überprüft haben.

 

Die Express-Tram könnte mit einer Geschwindigkeit von bis zu 100 Stundenkilometern fahren, würde sich äußerlich nicht von der bestehenden Tram unterscheiden und sie könnte auch auf dem "klassischen" Tramnetz verkehren, erklärte Marc Perez von TTK. Somit wäre auch eine direkte Anbindung an zentrale Orte in der Hauptstadt, etwa an das Kirchberg-Plateau, möglich.

 

Genaue Streckenführung noch unklar

 

Konkret würde dies bedeuten: In 37 Minuten von der Place Benelux in Esch bis zur Stäreplaz, in 35 Minuten von Foetz bis zur Place de l'Europe und in 2o Minuten von Esch-Schifflingen bis nach Hollerich, wie Marc Perez als Beispiele für die mögliche Reisezeit aufführte.

 

Die genaue Streckenführung in Esch, in Foetz und auf der Höhe von Leudelingen bleibt noch zu klären. Geplant ist aber, dass die Trasse zunächst die Autobahn A4 entlang bis nach Foetz führt. Dort soll ein wichtiger Pôle d'échange entstehen. Dieser erste Abschnitt könnte bis 2028 Realität sein. Anschließend geht es weiter in Richtung Industriebrache Esch-Schifflingen und schließlich, um das Jahr 2035, bis nach Esch und Belval.

 

 

Grafik: MDDI

 

Superbus, Monorail und Co. nicht geeignet

 

Neben einer Express-Tram wurden auch mehrere weitere Transportmittel analysiert. Darunter zunächst einmal zwei verschiedene Schnellbussysteme,  den Bus à haut niveau de service (BHNS) sowie der Car à haut niveau de service (CHNS). Der Unterschied zwischen Ersterem und Letzterem besteht darin, dass es im BHNS mehr Steh- als Sitzplätze gibt. Allerdings sind Stehplätze gemäß Code de la route lediglich innerorts erlaubt, weshalb sich dieses Transportmittel für die Verbindung Esch-Luxemburg nicht eignen würde.

 

Der CHNS hingegen verfügt ausschließlich über Sitzplätze und würde somit höchstens 90 Passagieren Platz bieten. Er würde den erforderlichen Kapazitäten somit nicht gerecht werden,wie Marc Perez erklärte. Außerdem würde sich die Einfügung ins Stadzentrum als schwierig gestalten. Würde der CHNS lediglich den Rand der Hauptstadt anfahren, wäre er wenig attraktiv. Würde er ins Stadtzentrum hineinfahren, müssten die rund 800 Doppeldeckerbusse dort wenden.

 

Auch die Variante Monorail bzw. Metro wurde überprüft. Diese Transportmittel wären für die Strecke Esch-Luxemburg jedoch vollkommen überdimensioniert, erklärt der Experte. Sie werden in der Regel bei 100.000 Passagieren pro Tag eingesetzt. Hier liegen wir bei etwa 30.000. Auch von einem städtebaulichen Standpunkt aus wäre die Umsetzung zu kompliziert beziehungsweise zu kostspielig. Beim Monorail beispielsweise würde jeweils eine sieben bis acht Meter breite Fläche benötigt.

 

Komplementär zu anderen Verkehrsmitteln

 

Wichtig sei, dass das Projekt Express-Tram nicht in Konkurrenz zu den anderen Verkehrsmitteln wie Bus und Zug steht, sondern komplementär dazu. "Man muss sie im Zusammenhang mit den anderen Infrastrukturen sehen", unterstrich Infrastrukturminister François Bausch. So soll die Express-Tram beispielsweise an die transversale Superbuslinie im Süden des Landes gekoppelt werden.

 

François Bausch zufolge müssen die Details des Vorhabens nun analysiert werden. Die politische Entscheidung liegt dann aber bei der künftigen Regierung.

 

Diane Lecorsais

Luxemburger Wort, 11. Juni 2018

 

Kommentar : Bausch hat Träume. Doch ob er sie verwirklichen kann, hängt davon ab, ob seine Partei im Oktober gestärkt wird, oder ob sie baden geht.

 

Man kann nur hoffen, dass die Express-Tram etwas bequemer ausfallen wird, als die Luxtram. Vielleicht wird es den Grünen diesmal in den Sinn kommen, die Bürger im Vorfeld an der Gestaltung der Fahrzeuge zu beteiligen, anstatt sie vor vollendete Tatsachen zu stellen.

 

Ansonsten wird Bauschs Nachfolger vielleicht auf die Idee kommen, die transversale Buslinie im Süden durch eine transversale Tramlinie zu ersetzen. Auch könnte man überlegen, die Gleise nach Frankreich (Audun-le-Tiche, Villerupt, Aumetz, Fontoy) zu verlängern, um auf diese Weise ein größeres Hinterland und einen größeren Kundenkreis zu erschließen.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

 

5 juin 2018

 

 

Il ressort d'un communiqué de presse que le prolongement de la ligne de tram de l'arrêt Pont Rouge jusqu'à l'arrêt Place de l'Etoile sera mis en service fin juillet 2018.

 

 

 

Testfaarte vum Kierchbierg iwwert de Glacis op d'Stäreplaz
An der Nuecht op en Dënschdeg ass den Tram eng éischte Kéier iwwert d'Rout Bréck op de Lampertsbierg gefuer. An d'Allée Scheffer krout nees Beem.

Vum Luc Marteling (RTL.lu)

 

Luxtram huet mat der Testphas fir den Trançon Kierchbierg-Stäreplaz (Étoile) ugefaangen.

Vum Arrêt "Rout Bréck - Pafendall", mam Funiculaire, fiert den Tram jo iwwert d'Rout Bréck, laanscht de Groussen Theater, béit do of, fir dann duerch d'Alleé Scheffer iwwert de Glacis ze fueren an da via d'Rue Jean-Pierre Probst op der Stäreplaz unzekommen.

Besonnesch komplizéiert war jo d'Kéier beim Groussen Theater, iwwert der Zoufaart fir d'Parkhaus, wou zousätzlech Etüden néideg waren - wéinst der Stabilitéit.

An der Nuecht op Päischtdënschdeg gouf mat den Tester ugefaangen an dunn ass den Tram iwwert d'Rout Bréck gefuer. Den Test wier gutt verlaf, esou Luxtram an engem Communiqué um Dënschdeg den Owend. An den nächsten Nuechten ginn no an no och déi weider Abschnitter bis bei d'Stäreplaz getest.

 

Antëscht verdéngt d'Allée Scheffer dann och nees hiren Numm, well do goufen nees Beem geplanzt, si ass also nees eng Allee. Et sinn awer jonk Beem, déi al ware jo oftransportéiert ginn, wat fir deels hëtzeg Reaktioune gesuergt hat.

 

(www.rtl.lu, 23.05.2018)

 

 

 

1. Mee

LCGB zu Réimech, OGBL am Gronn, Landesverband zu Bouneweg


Et ass den 1. Mee, den Dag vun der Aarbecht. Et ass deen Dag, wou d'Gewerkschaften op hir traditionell Maniffen invitéieren.

Vun RTL

 

 

De Landesverband huet seng Memberen, wéi gewinnt, an de Casino syndical op Bouneweg geruff.

 

De Landesverband bedauert, dass de Lëtzebuerger Staat eng privat Societéit gegrënnt huet, fir den neien Tramsreseau an der Stad ze bedreiwen. D’Regierung hätt den ëffentleche Statut bewosst ëmgaangen, esou den neien President vum Landesverband Georges Merenz um Dënschdeg de Moien.

Bei LuxTram géif et inakzeptabel Aarbechtskonditioune fir d’Salariéen. De Landesverband fuerdert dofir e Kollektivvertrag fir LuxTram. Allerdéngs géif d’Direktioun d’Verhandlungen immens zéi maachen. De Landesverband schwätzt vun enger sozialer Diktatur.

D’Aarbecht vum Transportminister François Bausch gouf gréisstendeels begréisst. Allerdéngs géif ee faulen Apel duergoen, fir dass e ganzen Uebstkuerf faul gëtt, betount den Georges Merenz.

D’CFL ginn iwwerdeems opgefuerdert, sech z’engagéieren, fir déi geplangte Streck vun der Stad op Esch ze bauen an ze bedreiwen. Dat sollt eng Zuchstreck ginn, a keng Tramslinn, mengt de Landesverband.

Et ass och d’Fuerderung fir Bus an Tram an der Stad besser ze koordinéieren.

De Landesverband weist sech iwwerdeems solidaresch mat den Salariéë vun der franséischer SNCF, déi zanter Woche géint eng Liberaliséierung vum Zuchreseau a Frankräich demonstréieren a streiken. De Landesverband schwätzt sech nach fir de generellen Tiers-Payant aus, an och fir eng séier Erhéijung vum Mindestloun.

 

(www.rtl.lu, 1. Mee 2018)

 

Kommentar : Et stellt ee sech d'Fro, wou bei der Grënnung vu Luxtram déi warnend Stëmm vun de sozialistesche Parteikollege war ?

 

Et muss ee sech allerdings och d'Fro stellen, wéi "rout" oder "sozial" déi Gréng nach sinn ? Do huet ee munchmol den Androck, dass hir Spëtzeleit beim Neoliberalismus ukomm sinn.

 

Aus ménger Siicht wier et méi logesch gewiescht, dem AVL d'Exploitatioun vum Tram unzevertrauen, sou wéi dat bei aner Bus- an Tramsbetriber am Ausland de Fall ass. Da kënnt een och Bus an Tram besser koordinéieren.

 

Mä sou wéi et ausgesäit, wollten eis rout, gréng, blo a schwaarz Politiker onbedingt verhënneren, dass d'Tramsleit de Gemengebeamtestatut kréien. Mat aner Wierder, eis Politiker hu fir de soziale Réckschrëtt gestëmmt.

 

Claude

 

 

 

Testphase beginnt Ende Mai
Trambahn fährt vor dem 1. August bis zur Stäreplaz, neuer Busfahrplan folgt zur Rentrée

 

VON DIANE LECORSAIS


Das genaue Datum, an dem die drei nächsten Haltestellen in Betrieb genommen werden, steht noch nicht fest. Sicher ist aber: Die Tram fährt vor dem 1. August bis zur Stäreplaz.

 

Tramfahrzeuge sind auf der Stäreplaz noch nicht in Sicht. Doch haben die Gleise die Place de l'Etoile inzwischen erreicht (das LW berichtete) – und es gibt einen konkreten Termin für die ersten Probefahrten. „Die Testphase des Teilstücks zwischen Pont Rouge und Stäreplaz beginnt in der letzten Mai-Woche“, erklärt Luxtram-Sprecherin Françoise Frieden auf LW-Nachfrage hin. Im Zuge dieser Etappe soll zudem das genaue Datum der Inbetriebnahme der Haltestellen Theater, Faïencerie und Stäreplaz kommuniziert werden. Fest steht: „Die Tram wird den Fahrgästen vor dem 1. August bis zur Stäreplaz zur Verfügung stehen“, versichert Luxtram.

 

Damit widerspricht die Betreibergesellschaft einem RTL-Bericht von Montag. Der Sender hatte gemeldet, die Tram würde den regulären Fahrbetrieb bis zur Stäreplaz wohl erst Mitte September aufnehmen – und dort zuvor, also auch während der Schueberfouer, nur „in seiner Testphase“ Passagiere befördern.

 

Wie Luxtram präzisiert, wird der Busfahrplan hingegen erst zur Schulrentrée Mitte September adaptiert. Von diesem Zeitpunkt an werden die Busse aus dem Westen des Landes vornehmlich den Pôle d'échange Stäreplaz anfahren, wo die Passagiere auf die Tram Richtung Kirchberg, später auch Richtung Stadtzentrum, beziehungsweise auf die städtischen Buslinien umsteigen können.

Luxemburger Wort vom Mittwoch, 25. April 2018, Seite 24

 

Kommentar : Rom wurde nicht an einem Tag erbaut. Ob die Tram nun am 1. August in Betrieb geht oder erst Mitte September, ist eigentlich unwichtig. Wichtig ist vor allem, dass beim Bau nicht gepfuscht wird. Nicht dass hinterher umfangreiche und komplizierte Reparaturarbeiten fällig werden.

 

Claude

 

 

 

Luxtram SA: Vor einer sozialen Entgleisung ?

 

Als Gewerkschaften freut es den OGBL und den FNCTTFEL/Landesverband, dass die am 10. Dezember 2017 eingeweihte neue Trambahn, erste Erfolge in transportpolitischer Hinsichtaufzuweisen hat. Damit diese Erfolge Bestand haben und weiter ausgebaut werden können, müssen in sozialpolitischer Hinsicht die Weichen beim Tram richtig gestellt werden. Denn damit ein öffentliches Verkehrsmittel reibungslos funktioniert, muss es über genügend und gut ausgebildete Mitarbeiter mit annehmbaren Lohn- und Arbeitsbedingungen verfügen.

 

Dies ist bei der neuen Trambahn bis jetzt nicht der Fall. Die Arbeitsbedingungen bei einem Transportbetrieb sind nicht nur in sozialpolitischer Hinsicht von Bedeutung. Sie sind darüber hinaus absolut wichtig, um einen sicheren Betrieb zu gewährleisten, dies im Interesse der Belegschaft, der Trambahnbenutzer und sämtlicher Verkehrsteilnehmer.

 

Zurzeit ist die Gesamtschichtdauer bei Luxtram SA auf 13 Stunden festgelegt. Bei den RGTR-Busbetrieben beträgt diese Gesamtschichtdauer 11 Stunden und bei der Eisenbahn 10 Stunden. Es stellt sich hier die Frage warum das Großherzogliche Reglement, das die Arbeitsbedingungen bei der Eisenbahn regelt, nicht bei der neuen Trambahn angewendet wird ? Schließlich weist ein Trambetrieb viele Ähnlichkeiten mit der Eisenbahn auf. Dies sowohl was die Reglung des Fahrbetriebes, den Unterhalt des Materials und der festen Anlagen als auch das Fahren der Trambahnen betrifft. Die Tramfahrer müssen gleichzeitig den Anforderungen eines Eisenbahnlokführers und denen eines Busfahrers gerecht werden.

 

- Sie fahren über Schienen, auf denen sie nicht ausweichen können und auf denen der Bremsweg länger ist als auf der Straße !

- Sie müssen Signale beachten !

- Sie werden bei Überfahren eines Haltesignals nicht automatisch gebremst !

- Sie müssen auf sämtliche Straßenverkehrsteilnehmer achten !

- Sie müssen insbesondere auf die vielen Fußgänger achten, die die Schienen überqueren !

 

Deshalb ist es im höchsten Maße unverantwortlich, diesen Mitarbeitern eine Gesamtschichtdauer von 13 Stunden zuzumuten !

 

Auch die Lohnbedingungen bei Luxtram SA entsprechen keineswegs den Standards, wie sie hierzulande in den öffentlichen und privaten Transportbetrieben üblich sind. Hier besteht ein erheblicher Nachholbedarf. Der Staat und die Gemeinde Luxemburg sind als Kapitaleigner bei Luxtram SA gefordert !

 

Im Rahmen der laufenden Kollektivvertragsverhandlungen bei Luxtram SA fordern die Gewerkschaften OGBL und FNCTTFEL/Landesverband die konsequente Anpassung an die Lohnbedingungen und Arbeitsbedingungen im öffentlichen Dienst. Die Generaldirektion der Tramgesellschaft erklärte den Gewerkschaften, kein erhandlungsmandat betreffend dieser wesentlichen Punkte seitens des Verwaltungsrates zu besitzen. Deshalb fordern die Gewerkschaften OGBL und FNCTTFEL/Landesverband die Regierung und die politische Führung der Gemeinde Luxemburg dazu auf, ihre Vertreter im Verwaltungsrat von Luxtram SA damit zu beauftragen, der Generaldirektion der Tramgesellschaft die notwendigen Verhandlungsmandate zu erteilen.

 

Mitgeteilt vom OGBL und dem FNCTTFEL/Landesverband

 

(in : Le Signal, 18. April 2018)

 

 

Kommentar : Es ist eigentlich seltsam, dass die Politik in einem Wahljahr die MitarbeiterInnen von Luxtram so stiefmütterlich behandelt.

 

Oder sollte es etwa zutreffen, was mir ein AVL-Mitarbeiter anvertraute : Bei Luxtram arbeiten hauptsächlich französische Grenzgänger, und die haben bekanntlich kein Wahlrecht. Also braucht man sich nicht um sie zu kümmern und muss ihnen keine Zugeständnisse machen.

 

Es ist eine Schande !

 

Claude

 

 

 

Eine Tram nach Süden
Lex Kleren

 

Demnächst auch in der Minetteregion? Minister Bausch will das Tramnetz nach Süden ausdehnen.

 

Am 19. April wird Nachhaltigkeitsminister François Bausch in einer Orientierungsdebatte die künftige Mobilitätspolitik vorstellen. MoDu 2.0 sollte Antworten auf viele Fragen liefern. Dabei werden auch neue Tram-Pläne eine Rolle spielen.


Infrastrukturminister François Bausch hat die Idee am Donnerstag erneut ins Spiel gebracht: Warum nicht eine Verlängerung der hauptstädtischen Tram über Hollerich hinaus Richtung Süden, an der A 4 entlang bis nach Foetz und Esch/Alzette? Bausch hat diese Idee bereits mehrere Male erwähnt, ohne aber konkret zu werden, dies mit Verweis auf laufende Studien.

Warten auf die Studie


„Wir haben eine Studie in Auftrag gegeben, die alle Optionen analysiert hat. Sie wird im Juni abgeschlossen sein, ich kann aber jetzt schon sagen, dass die Tram als effizienteste Lösung zurückbehalten wurde“, so Bausch. „Da der sektorielle Leitplan Transport genau wie die anderen Leitpläne Ende April im Ministerrat verabschiedet werden soll und dort auch die Tramerweiterung Richtung Süden bereits eingezeichnet ist, habe ich die Information jetzt veröffentlicht, erklärt Bausch. „Die Abgeordneten können sich dann im Rahmen der Orientierungsdebatte bereits  in die Diskussion einbringen.“

Die Trasse würde parallel zur A 4 verlaufen, in Foetz könnte eine große Umsteigplattform mit P&R entstehen. Zudem könnte die Tramlinie über die Industriebrache Schifflingen weiter bis ins Universitätsviertel Belval verlängert werden.

Von Uni zu Uni

Auch das sehr schnell wachsende Leudelingen wäre so an ein effizientes öffentliches Transportmittel angebunden. In Hollerich soll die neue Linie über den Boulevard de Merl via Place de l'etoile an das Tramnetz angebunden werden. Zum Einsatz käme, anders als in der Hauptstadt,  ein Trammodell, welches Geschwindigkeiten von bis zu 100 km/h erreichen würde. Zugleich wäre die Tram aber auch innerorts einsetzbar.

Die Aussicht einer modernen Trambahn, welche durchgehend vom Findel bis nach Belval fährt und pro Fahrt bis zu 600 Passagiere befördern kann, ist durchaus verlockend. Der Verkehrsfluss auf der A4 würde wegen der eigenen Trasse nicht behindert, die Fahrtzeiten könnten flexibel gestaltet werden. Sozusagen als Nebeneffekt würden beide Universitätsstandorte per Tram miteinander verbunden werde. „Die Studie hat klar aufgezeigt, dass besonders diese Verkehrsanbindung zwischen Luxemburg und Esch/Alzette extrem belastet ist und weiter wachsen wird, so Bausch.

Lange Vorgeschichte


Pläne zum Ausbau dieser Verbindung gab es bereits in der Vergangenheit: Während der damalige Transportminister Henri Grethen bereits 2003 eine neue direkte Zuglinie Esch/Alzette-Luxemburg konkretisieren wollte, so kam später mit dem Regierungswechsel die Absage. Man wollte sich auf eine neue Busspur zwischen den beiden größten Städten des Landes konzentrieren, hieß es damals. 2015 sprach sich sein Nachfolger François Bausch konkret für eine solche Busspur zwischen Steinbrücken und Leudelingen-Süd aus. Demnach sollte auf der A4 zwischen Esch/Alzette und der Hauptstadt eine zu Spitzenstunden für den öffentlichen Transport reservierte Spur eingerichtet werden.

Ende 2016 bringt das Nachhaltigkeitsministerium dann den Superbus ins Spiel: Auf der künftigen Bustrasse entlang der A4 soll ein sogenannter bus à haut niveau de service, die Minettemetropole mit der Hauptstadt verbinden. Allerdings wird diese Idee im Dezember vergangen Jahres wieder fallen gelassen. Wohl vom Sympathierückenwind der Tram in Luxemburg-Stadt getragen, zieht François Bausch dieses Verkehrsmittel seit einigen Monaten nun auch als Möglichkeit einer Direktanbindung zwischen Esch/Alzette und Luxemburg in Betracht. Bausch spricht in diesem Kontext von einem Umsetzungszeitraum von 10 bis 15 Jahren. Aber die Idee ist jetzt erst mal in der Öffentlichkeit und andere werden sich mit ihr beschäftigen müssen.

 

www.wort.lu

 

Kommentar : Man darf gespannt sein auf die Alternativen die im kommenden Wahlkampf vorgeschlagen werden : Monorail, Seilbahn, U-Bahn, Ausbau der Escher Autobahn auf 2 x 3 Spuren ... 

 

Aber wie sagte doch gleich Wladimir W. Putin : "Geschichte schreibt derjenige, der den Krieg gewinnt."

 

 

 

Eine Tram bahnt sich ihren Weg

In Howald führt die Trasse über Privatgrundstücke; die Verhandlungen laufen

 

VON DIANE LECORSAIS

 

Im Hinblick auf die Tramstrecke muss die Rue des Scillas um einiges verbreitert werden. Im Gespräch mit dem LW erklärt Minister François Bausch, was genau dies für die ansässigen Geschäftsleute bedeutet, für die Anrainer – aber auch für den Ort Howald im Allgemeinen.

 

Sie ist schon etwas speziell, die Rue des Scillas in Howald. Nicht riesengroß, aber auch nicht gerade klein, und stets viel befahren. Sie strahlt einen Hauch Vorstadtflair aus. An ihr liegen Geschäfte, Restaurants, aber auch ein industrieller Betrieb, eine Tennishalle, ein Gewerbegebiet, Büros. Ein etwas gewöhnungsbedürftiger, bunter Mix, könnte man sagen. Und ein Areal, das sich mit der ebenso bunten Tram in den kommenden Jahren stark verändern wird ...

 

Damit die Straßenbahn, aus Richtung Hauptbahnhof kommend, überhaupt erst durch die Rue des Scillas fahren kann, muss diese zunächst ausgebaut werden. 34,25 Meter wird sie breit, mit jeweils zwei Fahrspuren pro Richtung für den Individualverkehr, zwei Bahnen für die Tram, zwei Grünstreifen sowie Fußgänger- und Radwegen auf beiden Seiten. Infrastrukturminister François Bausch spricht von einem der bedeutendsten Projekte im Hinblick auf die Entwicklung im Südwesten der Hauptstadt – „ein Projekt, ohne das das Viertel verkehrsmäßig nicht weiter funktionieren kann“. Gestern wurde das Vorhaben mit voraussichtlichem Kostenpunkt von 130 Millionen Euro im Ministerrat gutgeheißen.

 

Nun führt die Tramtrasse jedoch über diverse Terrains, die dem Staat (noch) nicht gehören – und mit deren Eigentümern derzeit verhandelt wird. Parallel dazu haben die Behörden eine Klassierung der Zone als „d'Utilité publique“ in die Wege geleitet (das LW berichtete). „Eine ganz normale Prozedur, die in jedem Gesetz drinsteht“, so Bausch.

 

Staat benötigt mehrere Parzellen

 

Bei der „Utilité publique“ handelt es sich demnach zwar sehr wohl um das Statut, das eine Enteignung der Grundstücksbesitzer durch den Staat möglich macht – weil ein öffentliches Interesse an dem Projekt besteht. Falls Staat und Eigentümer demnach nicht zu einem Konsens finden würden, könnte Ersterer auf die Möglichkeit einer Expropriation zurückgreifen. Bausch zeigt sich allerdings zuversichtlich, dass das in diesem Fall nicht nötig sein wird. Zum Teil sei man sich bereits einig geworden – zum Teil würden noch Gespräche geführt.

 

Ganz unten an der Rue des Scillas befindet sich zunächst einmal das Cactus-Hobby-Geschäft. Von dem Gelände werden den Plänen zufolge lediglich einige Meter benötigt – und zwar dort, wo sich heute Parkflächen befinden. Ob das Geschäft trotzdem bestehen bleibt, ist nicht bekannt – Cactus wollte sich nicht zu der Angelegenheit äußern.

 

Direkt daneben befindet sich das Areal, auf dem der Betrieb Bétons Feidt angesiedelt ist. Im Gespräch mit dem LW hatte sich Inhaber Ferd Feidt zuletzt besorgt über die Sit-uation und um die Zukunft seiner Firma gezeigt, zugleich aber auch erklärt, dass man bislang eng mit den Behörden zusammengearbeitet habe. Wie Minister Bausch nun präzisiert, wird lediglich ein Teil dieses Grundstücks benötigt und der Zugang zum Gelände bleibt bestehen. Der Minister spricht seinerseits von „ganz positiven Gesprächen“ mit dem Unternehmer. Einig geworden ist man sich aber offenbar noch nicht. Will heißen: Im Hintergrund wird weiterhin gefeilscht; Details sind nicht bekannt.

 

Ein paar Meter weiter befindet sich eine Gewerbezone mit Einzelhandelsgeschäften. Die Verbreiterung der Rue des Scillas bedingt, dass das Restaurant „Buffalo Grill“ weichen muss, genau wie ein Teil der Läden. Laut François Bausch hat man sich hier bereits mit der Eigentümergesellschaft einigen können, eine entsprechende Konvention zwischen Besitzer, Staat und Gemeinde Hesperingen sei unterzeichnet. Zwischen diesem und dem nächsten Terrain, auf dem sich ein Gewerbebau befindet und mit dessen Eigentümer derzeit ebenfalls noch verhandelt wird, wird die Tram nach rechts abbiegen und so zum Pôle d'échange Gare Howald gelangen. Hier werden nicht nur die Tram und die Eisenbahn anhalten, sondern auch Busse, wird dort doch ein neuer Busbahnhof geschaffen.

 

Auch Anrainer betroffen

 

Neben Betrieben sind von dem Vorhaben in der Rue des Scillas aber auch einige Anrainer betroffen. Nicht weit entfernt befindet sich eine Wohnstraße, die Rue Auguste Scholer. Hier werden einige Hauseigentümer Teile ihres Gartens abtreten müssen. „Wir haben den Anwohnern aber versprochen, dass wir einen Schallschutz installieren“, erklärt François Bausch.

 

Letzten Endes werde das Viertel von der Gesamtentwicklung profitieren: „Der Staat baut eine Infrastruktur, die zu einer Aufwertung der Grundstücke führt“, versichert der Minister. Die Anrainer bekämen eine Tramstation in unmittelbare Nähe; die Rue des Scillas werde von einer „hässlichen Straße durch die Industriezone“ zu einem „urbanen Boulevard“. Auch wird die Drosbach teilweise renaturiert. „Die Menschen bekommen eine 100-prozentige Verbesserung.“

 

Die Rue des Scillas ist allerdings nur ein Abschnitt der teilweise neu zu errichtenden Nationalstraße N3. Letztere beginnt am Hauptbahnhof, führt von dort aus über den Pont Buchler und einen Teil der Route de Thionville, bevor es neu nach rechts Richtung Howald geht. Von dem Gesamtvorhaben betroffen ist daher auch der Rangwee. Dort benötigt der Staat ebenfalls Parzellen – laut Bausch ein Einfamilienhaus und drei weitere zumindest teilweise. Auch hier seien Gespräche mit den Eigentümern im Gange.

 

Womit die Ausmaße der beiden miteinander verknüpften Großprojekte – Tram und Nationalstraße N3 – deutlich werden. Die Arbeiten in der Rue des Scillas sollen Bausch zufolge jedenfalls Ende 2019 beginnen, das entsprechende Gesetz noch vor der Sommerpause verabschiedet. Zwei Jahre soll der Ausbau der Straße in Anspruch nehmen.

 

 

 

 

Luxemburger Wort vom Samstag, 17. März 2018, Seite 34

 

Kommentar : Vielleicht hätte man besser schreiben sollen : “Eine hässliche Tram bahnt sich ihren Weg.”

 

 

 

 

 

 

36 Anwohner der Place de l'Etoile in der Hauptstadt klagen über den Baustellenlärm, der ihnen schlaflose Nächte bereitet. Sie haben eine Petition lanciert und behalten sich weitere Aktionen vor, sollte sich die Lage nicht verbessern.


„Seit mehr als einem Monat sind die Bürger, die in der direkten Umgebung der Place de l'Etoile (Rue de Rollingergrund, Rue du Charly, Rue Jean-Pierre Probst, Boulevard Grande-Duchesse Charlotte, Rue Jean-Pierre Brasseur, Val Saint-Croix) wohnen, massiven und unaufhörlichen Lärmbelästigungen ausgesetzt, in der Woche und am Wochenende“, heißt es in der Petition  des Collectif des résidents aux alentours directs de la Place de l'Etoile, die Ende Februar an Infrastrukturminister François Bausch, Bürgermeisterin Lydie Polfer und die Straßenbauverwaltung geschickt wurde.

Allgemeiner Überdruss

In der Petition beschweren sich 36 Bürger über den nächtlichen Baustellenlärm, der ihnen zu schaffen macht. Einige Anwohner seien wiederholt bei der Polizei vorstellig geworden und hätten sich wegen des exzessiven Lärms nachts zur Baustelle begeben. „Zu diesem Zeitpunkt stellen wir einen allgemeinen Überdruss fest“, so das Kollektiv.

 

Im Sommer werde unter anderem der Bau der Umsteigeplattform auf der Stäreplaz fertiggestellt sein. Es stehe außer Frage, dass die Anwohner die nächtliche Belästigung noch weitere Monate erdulden, so das Anwohnerkollektiv. Falls das Recht der Bürger auf eine gewisse Nachtruhe von den öffentlichen Stellen nicht berücksichtigt werde, zögen die Bürger weitere Aktionen in Erwägung.

In einer ersten Stellungnahme hatte die Straßenbauverwaltung darauf hingewiesen, dass die nächtlichen Arbeiten unerlässlich seien. Weil sie die Lebensqualität der Anrainer bedeutend beeinträchtigten, würden sie auf ein striktes Minimum reduziert.

Nächtliche Baustelle an diesem Wochenende

Für dieses Wochenende und die Nächte vom 28. bis 31. März hat die Administration des Ponts et Chaussées nun weitere Arbeiten angekündigt. Aufgrund des Straßenverkehrs seien sie tagsüber nicht durchführbar, so die Argumentation.

Über das plötzliche Kommuniqué der Straßenbauverwaltung zeigt sich Jo Wagener vom Kollektiv indes wenig erfreut: „Die Mitteilung bestätigt die Arroganz und Ignoranz der Obrigkeiten gegenüber einer Aktion, die von 95 Prozent der betroffenen Bewohner unterstützt wird.“

 

(www.wort.lu,16.03.2018)

Kommentar : Trambau ist wie im Krieg. Es kommt immer wieder zu Kollateralschäden.

 

 

 

 

Wie die Tram "den Houwald erop" kommt
Diane Lecorsais


Wenn die Tram bis zur Cloche d'Or fährt, wird sie die Ortschaft Howald durchqueren. Dies bedingt nicht nur eine Umgestaltung der Rue des Scillas, sondern auch, dass ansässige Unternehmen Platz machen. Eine der betroffenen Firmen ist Bétons Feidt.

2021 soll die Tram die komplette Strecke zwischen Findel und Cloche d'Or bedienen. Ende vergangenen Jahres waren die entsprechenden Verlängerungen von der Gare centrale bis zur Cloche d'Or sowie von Kirchberg zum Flughafen Findel vom Parlament gebilligt worden. Derweil die Strecke von der Luxexpo zum Flughafen in erster Linie an der Autobahn A1 entlang und damit nicht direkt durch eine Ortschaft führt, sieht es auf der anderen Seite, zwischen Gare centrale und Cloche d'Or, etwas anders aus. Der Ausbau der Tramtrasse macht dort verschiedene städtebauliche Anpassungen notwendig – und wird einige Umzüge erfordern.

„D'utilité publique“

Die 4,9 Kilometer lange Strecke wird zum größten Teil über die neue Nationalstraße N3 verlaufen. Sie führt zunächst über den Pont Büchler und einen Teil der Route de Thionville. Von dort aus geht es am Centre de remisage der CFL vorbei bis in die Nähe des Lycée Technique de Bonnevoie, dann an den Gleisen entlang in die Rue des Scillas, weiter zum Bahnhof Howald und schließlich durch den Ban de Gasperich bis zum neuen Fußballstadion in Kockelscheuer.

In Bezug auf den Streckenabschnitt durch die Rue des Scillas gilt es allerdings noch einige Punkte zu klären. Nicht nur muss die Straße im Hinblick auf die Tram verbreitert werden. Auch führt die Trasse durch diverse Grundstücke, die dem Staat (noch) nicht gehören – und mit deren Eigentümern derzeit verhandelt wird. Parallel dazu haben die Behörden eine Klassierung der Zone als „d'utilité publique“ in die Wege geleitet. Dabei handelt es sich um das Statut, das eine Enteignung der einzelnen Grundstücksbesitzer durch den Staat möglich macht – weil ein öffentliches Interesse an dem Projekt besteht.

„Bedrohliche Situation“

Ein Umstand, der dem Unternehmer Ferd Feidt, einer der betroffenen Grundstücksbesitzer, Sorge bereitet. Seit 1971 unterhält Bétons Feidt eine Niederlassung in Howald – „ein idealer Standort“, wie Feidt sagt. Doch wird der Betrieb bald Platz für die Tram machen müssen. „Wir sind ein Unternehmen, das ganz große Schwierigkeiten hat, einen Ersatzplatz zu finden“, sagt der Unternehmer. Er spricht denn auch von einer „bedrohlichen Situation“ für seinen Betrieb. „Wir müssen uns Fragen zur Zukunft unserer Firma stellen“, so Feidt.

Vom Staat fordert er daher Unterstützung bei der Suche nach einer Alternative. „Wir wollen eine Garantie dafür, dass wir unsere Arbeit an einem anderen Standort fortsetzen können.“

Feidt zufolge habe man bislang eng mit den Behörden zusammengearbeitet. Dass sein Betrieb im Stich gelassen wird, kann sich der Unternehmer denn auch nicht vorstellen. Doch er stellt klar, dass man erst zufrieden sei, wenn eine Lösung vorliegt. „Der Staat muss sich bewusst sein, dass unser Überleben auf dem Spiel steht.“

Streckenverlauf wurde abgeändert

Nun ist das Tram-Projekt seit Jahren in Planung. Feidt erklärt hierzu, dass die Trasse zu Beginn eigentlich gar nicht durch Howald führen sollte. Als dann die aktuelle Streckenführung beschlossen wurde, habe sich die Firma nach einer Alternative umgesehen.

Dem Unternehmer zufolge war eine solche denn auch bereits komplett ausgearbeitet worden, dies in der nahe gelegenen Rue Orchimont. Doch sei dieses Vorhaben letztendlich geplatzt – und nun eben die Prozedur zur Klassierung seines Terrains als „d'utilité publique“ lanciert. „Was die Sache nicht gerade einfacher macht“, kommentiert Feidt.

„Normale Vorgehensweise“

Vonseiten des Ministeriums heißt es zu der Angelegenheit, dass es „ganz normal“ sei, dass im Kontext der Planung der neuen Nationalstraße N3/Rue des Scillas eine Klassierung zu einer „Zone d'utilité publique“ in die Wege geleitet wird. „Das ist eine generell übliche Prozedur, um sich abzusichern. Es bedeutet jedoch nicht, dass automatisch eine Enteignung erfolgt“, erklärt Ministeriumssprecherin Dany Frank. „Eine Enteignung steht in diesem Fall ganz klar nicht zur Diskussion. Im Gegenteil, wir führen gute und konstruktive Gespräche mit sämtlichen Grundstückseigentümern.“

Für die Firma Feidt drängt jedoch allmählich die Zeit. Schließlich soll die Tram schon 2021 in Howald fahren. Wie viele weitere Grundstücksbesitzer betroffen sind, ist unklar. Fest steht jedoch, dass sich an der künftigen Trasse mehrere Geschäfte befinden, auf die das Projekt Auswirkungen haben wird. Um die Modalitäten dazu zu regeln, wird laut Ministerium eine Konvention zwischen der Gemeinde Hesperingen, den Eigentümern und dem Staat ausgearbeitet. Die Räumlichkeiten des Tennisclub Howald seien hingegen nicht vom Tram-Projekt betroffen. Was die Anrainer aus der Rue Auguste Scholer betrifft, so sei man mit diesen im Gespräch.

Ende der Woche wird sich übrigens der Ministerrat mit dem Dossier Rue des Scillas befassen.

(www.wort.lu, 6. März 2018)

 

 

 

 

 

 

(Journal, 24.02.2018)

 

 

Dass ausgerechnet die einstige Tramgegnerin Polfer bei Pressekonferenzen auftritt, um sich mit der Tram zu brüsten, ist schon ein starkes Stück. Es ist einfach nur widerlich.

 

Ansonsten taugen die Zahlen nicht viel und beweisen nichts : Man hätte auch schreiben können, statt der erwarteten 40.000 Fahrgäste würden deren nur 17.000 am Tag mit der Tram fahren, also knapp die Hälfte. Und diese 17.000 sind sowieso zum großen Teil "Zwangsrekrutierte", also Menschen denen die Busverbindung weggenommen wurde, und die gezwungenermaßen mit der Tram fahren. Den Generaldirektor von Luxtram André Von der Marek wird das nicht aus der Ruhe bringen.

 

Direkt witzig klingt Polfers Aussage, in der Avenue de la Liberté werde die Tram ohne Stromkabel fahren, damit das Stadtbild nicht unnötig verschandelt werde. Allein die Tramwagen mit ihrem fragwürdigen Design sind doch Verschandelung genug. 

 

Aber man wollte die Bürger ja nicht fragen. Man hat die Entscheidung lieber im kleinen Kreis getroffen. Von "partizipativer Demokratie" wollten selbst die grünen Weltverbesserer nichts wissen. Luxemburg ist eben leider keine Demokratie, sondern eine Demokratur. Das Volk bekommt seine Meinung von oben herab diktiert, wie einst vom Predigtstuhl in der Kirche.

 

Es ist eine Schande.

 

 


Ausschließlich elektrische Busse

journal.lu - 09.02.2018

 

 

Nachhaltigkeits- und Infrastrukturminister François Bausch stellt RGTR-Buslinie 305 zwischen Bettemburg und Düdelingen in Dienst


Eine Flotte von sieben elektrischen Bussen des Typs „VDL Citea LLE-99 Electric“ wird künftig die RGTR („Régime Général des Transports Routiers“)-Linie 305, die die Städte Bettemburg und Düdelingen über den „Krakelshaff“ und die Industriezonen „Riedgen“ und „Schéleck“ miteinander verbindet, bedienen. Gestern Vormittag wurde die Elektro-Buslinie von Nachhaltigkeits- und Infrastrukturminister François Bausch in Bettemburg eingeweiht.

 

Dekarbonisierung des öffentlichen Personennahverkehrs

 

Die elektrische RGTR-Buslinie 305 stellt nach des Ministers Worten eine wichtige Etappe für die Elektrifizierung und somit für die Dekarbonisierung des öffentlichen Personennahverkehrs dar. Die auf dieser Linie eingesetzten elektrischen Busse sind mit zwei Ladesystemen ausgestattet: Das „Overnight charging“-System wird genutzt, um die Busse während der Nacht zu laden und das „Opportunity charging“-System erlaubt es, die Busse während einer Pause zwischen zwei Fahrten aufzuladen. Die Ladestationen wurden auf dem Gelände des Busbetreibers „Autocars Pletschette“ eingerichtet.

 

 

2 € fir 2 StonnenVun elo un ass den Tram net méi gratis

Zanter dem 10. Dezember, wou den éischten Tracé ageweit gouf, bis e Mëttwoch huet een näischt musse bezuelen, wann ee mam Tram matgefuer ass.

Déi Phas ass awer elo eriwwer. Vun en Donneschdeg u kascht eng Faart 2 Euro. Den Ticket ass zwou Stonne valabel a gëllt och fir all aner ëffentlech Transportmëttel.

Op deene verschiddenen Arrête vum Tram kann een en Ticket kafen.

Et ass och méiglech, en Ticket fir 4 Euro ze kafen, deen ass dann de ganzen Dag valabel.

Den Tram fiert jo aktuell op 4,4 Kilometer um Kierchbierg. 8 Arrête gëtt et vun der Luxexpo bis bei d'Rout Bréck.

D'Standseelbunn ass a bleift gratis.

(www.rtl.lu, 1. Februar 2018)

 

+++ +++

 

Dat heescht, wann ee mam Bus oder mam Zuch vun ausserhalb der Stad kënnt, muss een 2 Euro bezuelen, fir um Kierchbierg mam Tram ze fueren.

 

Fir de ganzen Dag mam Tram op an of ze fueren, kritt een e Billjee fir 4 Euro.

 

150 Euro Strof kascht et, wann een ouni Billjee mam Tram fiert an erwëscht gëtt.

 

 

 

 

Ausbau der Tram
Arbeiten an der Place de l'Étoile haben begonnen

Veröffentlicht am Montag, 8. Januar 2018 um 08:13

(rc) -  Am Montagmorgen haben im Rahmen des Tram-Projekts die Arbeiten an der Place de l'Étoile begonnen. Bis zum Anfang der Kollektivferien im Sommer sollen die Schienen liegen.

Die Stäreplaz wird zu einem von neun Pôles d'échange umgebaut: Die Tram soll dann vom Kirchberg her über den Glacis mit dem neuen Knotenpunkt für Busse aus dem Westen des Landes verbunden werden.

Die gute Nachricht für die Hauptstädter ist, dass es während der Baustelle zu keiner kompletten Sperrung der Strecken kommen wird. Das Straßenbauamt Ponts et Chaussées erklärt, dass es teilweise zu Schließungen kommt, jedoch soll das nur für punktuelle Verkehrsbehinderungen sorgen. Die betroffenen Straßen sind die Route d’Arlon (N6), die Rue de Rollingergrund (N12) und die Rue Val Sainte-Croix.

Richtung Stadtzentrum werden die Arbeiten an den Schienen der Tram währenddessen fortgesetzt. Ende 2019 soll die Straßenbahn von der Stäreplaz aus weiter über die Avenue Emile Reuter, den Boulevard Royal und den Pont Adolphe bis hin zur Place de Paris verkehren.

(www.wort.lu)

 

 

 

 

Die Rechnung ohne den Wirt gemacht

Warum die Tram in Luxemburg kläglich scheitern wird

 

VON DANIEL MILTGEN *


Seit langer Zeit hat der Otto-Normalluxemburger ein ambivalentes Verhältnis zum öffentlichen Personenverkehr (ÖPV) und mehr noch zum öffentlichen Personennahverkehr (ÖPNV). Der motorisierte Individualverkehr gilt eher als das geeignete Mittel zur erfolgreichen Befriedigung seiner Mobilitätsbedürfnisse. Erhärtet wurde dieser Trieb durch eine 40-jährige PPP-Dressur zum Auto unter anderem infolge einer fast pathologischen Herstellung autogerechter Siedlungsstrukturen und perfekter technischer Infrastrukturen quer durch das Land.


Ein historischer Rückblick: Aus durchaus nachvollziehbaren Gründen wurde der erste Hauptbahnhof nicht auf dem Gebiet der Festungsstadt Luxemburg gebaut. Militärische Überlegungen der preußischen Garnison führten dazu, dass diese Bahninfrastruktur auf dem Gebiet der Nachbargemeinde Hollerich errichtet werden musste, d. h. außerhalb der Festungsanlagen.


Dort sollte der Hauptbahnhof dann auch nach der Schleifung der Festung im Jahre 1867 definitiv verbleiben. Die feinen Bürger der Hauptstadt wollten nämlich die Anreise der wenig willkommenen Landbevölkerung mitten in die Stadt mit dem Zug verhindern. Der Hauptbahnhof verblieb demnach auf dem Gebiet der Gemeinde Hollerich und wurde erst durch die Eingemeindung im Jahre 1920 Hauptbahnhof der Stadt Luxemburg.


Soviel zur Begeisterung der Stadtluxemburger gegenüber dem schienengebundenen Transportmittel „Eisenbahn“. Auch war die Freude der Bewohner der Stadt groß, als im Jahre 1964 die Straßenbahn in der Hauptstadt, nach 89 Jahren Dienst, abgeschafft wurde.

 

Des Luxemburgers liebstes Spielzeug wurde, ist und bleibt weiterhin das Automobil. In der Tat wurden hierzulande quasi sämtliche Rekorde diesbezüglich gebrochen. Vor drei Jahrzehnten etwa ging die Lehre und Forschung im Bereich der Verkehrswissenschaft noch von einem maximalen Motorisierungsgrad einer Bevölkerung von 400 Personenkraftwagen pro 1 000 Einwohner aus. Doch in Luxemburg war dieser Planungsparameter, um die Grenzgänger bereinigt versteht sich, bereits längst überschritten. Heute werden im Schnitt tagtäglich 25 zusätzliche Autos angemeldet.

 

Das tagtägliche Chaos ist offensichtlich, und die nichtwissenwollenden Politiker glauben immer noch daran, durch den Ausbau bestehender Infrastrukturen (cf. Düdelinger Autobahn), durch den Bau neuer Straßen (cf. Boulevard de Merl) und durch die Errichtung autogerechter Trabantenstädte wie Kirchberg, Belval und Ban de Gasperich, die Verkehrsentwicklung nachhaltig steuern zu können. Es liegt ihnen jedenfalls fern, Lehren aus den nachweislichen Fehlern der Vergangenheit zu ziehen, obwohl namhafte Wissenschaftler sie vor ihren eingeschlagenen Irrwegen warnen.

 

Aber auch bei der Entwicklung des ÖPNV tun sich hierzulande die politischen Entscheidungsträger schwer. Betriebsblind und beratungsresistent verfallen sie immer wieder dem Irrglauben, die Entwicklung in die richtige Richtung zu leiten, indem sie den Technokraten erlauben, finanziell richtig zu klotzen. Die Standseilbahn Pfaffenthal-Kirchberg ist ein wunderbares Beispiel zur Verdeutlichung der Geldverschwendung im großen Stil gepaart mit einer dauerhaften Stadtbildzerstörung und zweifelhaftem verkehrstechnischen Nutzen.

 

Weltweit dozieren namhafte Verkehrsexperten seit geraumer Zeit, dass der größte Feind des Benutzers des ÖPNV, das lästige Umsteigen ist. Die Anzahl derartiger Knotenpunkte ist also auf ein absolutes Minimum zu reduzieren, sollte der öffentliche Verkehr zukunftsfähig werden. Zugegeben, die Topografie der Stadt Luxemburg eignet sich nicht dazu, den Wechsel der Transportmittel optimal zu gestalten. Wenn aber derartige Knotenpunkte unvermeidlich sind, sollten sie zumindest kundenfreundlich gestaltet werden. Die misslungene Verknüpfung der Standseilbahn-Straßenbahn an der roten Brücke verdeutlicht jedenfalls, wie man es nicht tun sollte.

 

Angenommen, ein Bewohner der Ökosiedlung in Helmsange ist RTL-Mitarbeiter und arbeitet demnach in Kirchberg. Die Luftlinienentfernung zwischen beiden Standorten beträgt etwa 3,04 km. Diesem RTL-Mitarbeiter stehen nun prinzipiell zwei Alternativen zur Verfügung, um tagtäglich zur Arbeit zu gelangen:

 

Erstens mit dem eigenen Auto über den Stafelter zur Distanzüberbewältigung von insgesamt 9,15 km Weglänge. Oder zweitens mit dem ÖPNV. Zunächst muss er dann mit dem Auto zum Bahnhof Walferdingen fahren, um dann mit dem Zug, sollte er denn einen Abstellplatz auf dem P&R gefunden haben, zum „Siechenhof“ im Pfaffenthal zu reisen. Dann weiter mit der Standseilbahn hinauf zum Kirchberg, von dort mit der Straßenbahn zur vorläufigen „Endstation“ und als letzte Fahrt mit dem Autobus zu den RTL-Türmen. Für welches Verkehrsmittel wird sich dieser Verkehrsteilnehmer wohl entscheiden, insbesondere dann, wenn er über einen reservierten Parkplatz unmittelbar an seinem Arbeitsplatz verfügt?

 

Apropos Parkplatz am Arbeitsplatz: Die Tatsache, dass eine sehr große Anzahl von Arbeitnehmern in der Stadt Luxemburg über einen eigenen Parkplatz am Arbeitsort verfügt, wurde bei der Opportunitätsanalyse über die Straßenbahn fatalerweise übersehen. Diese äußerst wichtige Komponente ist nämlich ausschlaggebend dafür, ob der von der Politik gewünschte Wechsel vom Individualverkehr zum ÖPNV erfolgen wird oder nicht.

 

Wenn auch heute die Anzahl der zu errichtenden Parkplätze bei Bauvorhaben, insbesondere bei den Bürogebäuden, laut Bebauungsplan der Stadt Luxemburg stark begrenzt ist, so war dies in der Vergangenheit keineswegs der Fall. Im Gegenteil, die Stadt Luxemburg verlangte viel zu lange ein zu hohes Minimum an Parkplätzen bei der Errichtung neuer Gebäude. Konnte ein Bauherr das Soll aus technischen Gründen nicht erfüllen, musste er sogar eine Strafe zahlen.

 

Auf dem Gebiet der Stadt Luxemburg befinden sich heute wesentlich mehr Parkplätze als jemals genehmigt wurden. Heute versuchen viele Bauherren die bestehende, restriktive Parkplatzregelung zu umgehen, indem sie beispielsweise großzügig geplante und genehmigte Archivräume späterhin als Parkplätze zweckentfremden.

 

Auch wilde, um nicht zu sagen illegale, Parkplätze sprießen zur Zeit wie Pilze aus dem Boden: Für die Mitarbeiter der Stadt Luxemburg in der rue Bender, für die Mitarbeiter des staatlichen Wohnungsbaufonds in der rue de la Déportation, für die Mitarbeiter der Asta, der Enregistrementverwaltung und der BIL in der route d’Esch u.v.a.m.

 

Vielerorts wurden und werden ehemals wunderprächtige grüne Vorgärten in den alten Villenvierteln Belair, Merl, Limpertsberg und im Bahnhofsviertel versiegelt und in wertvolle Autoabstellflächen transformiert. Auch größere Gärten im Stadtgebiet werden immer mehr als illegale Parkplätze genutzt.

 

Die Mehrheit der Staats- und Stadtbeamten verfügen über einen innerstädtischen Parkplatz. Jeder Lehrer und jeder Studienbeauftragte verfügt über seinen Autoabstellplatz unmittelbar auf dem Gebiet seiner Lehranstalt. 100 Prozent aller Staatsbedienstete des Nachhaltigkeitsministeriums und des Wohnungsbauministeriums im Hochhaus, die einen Parkplatz am Arbeitsort haben wollten, haben einen solchen in der Parkgarage unter der Philharmonie erhalten.

 

Der Innenhof des Innenministeriums in der Beaumontgasse ist nicht etwa begrünt um die Luftqualität der inneren City zu verbessern, sondern ist quasi zur Gänze asphaltiert und dient einigen auserwählten Beamten als kostbarster Parkplatz, obwohl hier auch die Dienststelle für Gemeindeplanung und Urbanismus angesiedelt ist, eine Amtsstelle mit Mitarbeitern, die nicht müde werden privaten Bauherren vorzuschreiben, was unter städtischer Lebensqualität zu verstehen ist.

 

Auch auf dem Kirchberg werden viele Eurokraten mit einem unterirdischen Autoabstellplatz direkt unter ihrem Büro versorgt. Die Aus- und Einfahrt aus der Tiefgarage des Verwaltungsgebäudes der Europäische Investitionsbank wird sogar durch eine Ampelanlage geregelt. Der öffentliche Verkehr wird hier gestoppt, damit die europäischen Beamten störungsfrei, zu ihrem Parkplatz gelangen können.

 

Auch das morgendliche Verkehrschaos vor vielen Schulen und Kindergärten zeigt auf, was das „Virus Auto“ im Kopf der Menschen bereits angerichtet hat.

 

Die Mehrzahl all dieser Autofahrer wird nicht auf das geliebte, bequeme private Auto verzichten und leider nicht Kunde des ÖPNV und somit der neuen Tram werden.

 

* Der Autor ist Ingenieur für Raumplanung und Raumordnung der TU Wien.

Luxemburger Wort vom Samstag, 23. Dezember 2017, Seite 15

 

 

Kommentar : Einerseits muss ich dem Autor Recht geben. Die Fahrzeuge von Luxtram sind nicht unbedingt ein gelungener Wurf.

 

Andererseits, wenn man Herrn Miltgens Lebenslauf kennt, liest seine Dissertation sich wie eine Abrechnung mit der Politik. Die Tram liefert womöglich nur das Alibi.

 

Er selber - Herr Miltgen - scheint sich der Tatsache bewusst zu sein, dass es mit dem Auto-über-alles nicht so weitergehen kann wie bisher. Ich vermisse allerdings seine Lösungsvorschläge. Die bleibt er uns schuldig.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

Freitag, den 15. Dezember 2017

 

Die Lokalzeitung "Eschter Tageblatt" weiß zu berichten, dass bei der Tram von Luxtram nicht alles rund läuft :

 

Zweite Tram-Panne am Freitagmorgen

 

Wie Luxtram dem Tageblatt gegenüber bestätigte, trat am Freitag kurz nach 9 Uhr ein Problem zwischen der Straßenbahn und der elektrischen Oberleitung auf. Als die letzten Passagiere bei der Haltestelle “Pfaffenthal” ausgestiegen waren und die Tram umkehren wollte, um wieder in Richtung Luxexpo zu fahren, blieb das Fahrzeug stecken. Verantwortlich dafür war eine Störung mit dem sogenannten “Pantografen”, dem Arm, der die Tram mit der Leitung verbindet.
Wie Luxtram erklärte, konnte die Tram ungefähr eine Stunde lang nicht fahren, weil das technische Team mit den Reparaturen beschäftigt war. Danach konnte der Verkehr wieder aufgenommen werden.

 

Die Tram hatte am Montagabend, einen Tag nach ihrer offiziellen Eröffnung, ihre erste Panne, als sie entgleiste.

 

 

 

 

 

Donnerstag, den 14. Dezember 2017

 

Erweiterung der Tram

Am vergangenen Sonntag fiel der Startschuss für die Tram. In Betrieb genommen wurde die Teilstrecke zwischen "Luxexpo" und "Roud Bréck". Am heutigen Donnerstag stimmt das Parlament über die Erweiterung der Tramstrecke zwischen dem Hauptbahnhof und der Cloche d'Or und zwischen dem Circuit de la Foire internationale und dem Flughafen Findel ab.



Grafik: Michèle Winandy.

Die erste Erweiterung schlägt mit 114,9 Millionen Euro zu Buche, die zweite mit 99,1 Millionen Euro. Beide Strecken sind für Ende 2021 geplant.

Zwischen dem Circuit de la Foire und dem Flughafen (vier Kilometer) hält die Straßenbahn beim P&R Héienhaff, wo die Passagiere auf RGTR-Busse umsteigen können.

Zwischen dem Hauptbahnhof und der Cloche d'Or hält die Tram beim Lycée technique de Bonnevoie (LTB) und auf Howald.

www.wort.lu,

 

 

 

 

Traut euch!


Veröffentlicht am Mittwoch, 13. Dezember 2017 um 20:00

von Rita Ruppert

Nach über 50 Jahren Abwesenheit aus dem Straßenbild müssen sich die Einwohner wieder mit der Tram vertraut machen. Im Idealfall nicht nur mit der Straßenbahn als weiterem „Verkehrsteilnehmer“, sondern als Passagier in den modern gestalteten Fahrzeugen. Ja, die Einwohner sollten auf den öffentlichen Transport umsteigen, wenn sie nicht im Individualverkehr ersticken wollen.

Es gibt Tage, da geht in Luxemburg verkehrstechnisch gar nichts mehr. Autobahnen, Landstraßen und sogar Schleichwege sind dann mit Blechkarossen vollgestopft. Passiert dann auch noch ein Unfall auf der Hauptstadtumgehung – am besten im morgendlichen oder abendlichen Berufsverkehr –, ist das Chaos komplett.

Dass dies Folgen für die Wirtschaft hat, ist längst bekannt. Auch die Innenstadt stöhnt seit Jahren unter den Automassen. Die couragierten Fußgänger und Radfahrer, die sich dorthin wagen, setzen sich dem Lärm und den Abgasen aus. Ganz zu schweigen von den Unfallgefahren. Allein im vergangenen Jahr starben acht Fußgänger und ein Radfahrer auf Luxemburgs Straßen.

Dabei könnte die allmorgendliche Fahrt ins Büro oder der Shopping-Ausflug in die Stadt so erholsam sein: Stressfrei und preiswert mit Bus, Bahn und Tram. Städte wie Freiburg, Kopenhagen und Amsterdam haben es vorgemacht, auch in Luxemburg könnte das Konzept aufgehen. Die Luxemburger müssten dazu allerdings auf das Auto, ihr liebstes Kind, verzichten.

Um ein Umdenken herbei zu führen, muss die Tramstrecke in den kommenden Jahren jedoch noch weiter ausgebaut werden – nämlich in Richtung deutsche und belgische Grenze, damit die Pendler schon dort in die Straßenbahn einsteigen. Dies bedingt auch, dass ebenda Auffangparkplätze entstehen. Am besten mit Kiosken, wo der Fahrgast Zeitung, Croissant und Kaffee erstehen kann, auch solche Annehmlichkeiten ziehen Kunden an.

Last but not least sollten die Fahrpläne im öffentlichen Verkehr besser aufeinander abgestimmt werden. Wer einmal 30 Minuten auf seinen Anschluss hat warten müssen, wird kein zweites Mal dem öffentlichen Verkehr den Vortritt gegenüber dem Automobil geben.

 

www.wort.lu

 

Kommentar :  Leider weisen die Fahrzeuge, aber auch die Haltestellen einige Mängel auf. Niemand unter den Journalisten und Politikern scheint darauf eingehen zu wollen. Und dennoch spielt es eine Rolle, wenn die Beinfreiheit in der Trambahn durch große Radkästen eingeschränkt ist, oder wenn durch eine geschwungene Dachform an der Endhaltestelle etliche Reisende im Regen stehen. Solche Details können darüber entscheiden, ob das Trambahnfahren als angenehm oder unangenehm empfunden wird.


Claude Oswald

 

 

 

 

11 Décembre 2017

 

 

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"Funiculaire" und zwei Haltestellen

Neuzugänge bei der CFL

Standseilbahn wurde binnen zweieinhalb Jahren errichtet

 

 

(DL) - Nicht nur für Luxtram ist am Sonntag ein ganz besonderer Tag, sondern auch für die nationale Eisenbahngesellschaft CFL. Mit Pfaffenthal und Howald werden zum Inkrafttreten des neuen Winterfahrplans gleich zwei zusätzliche Zughaltestellen in Betrieb genommen – und mit der Standseilbahn auch ein für Luxemburg ganz neues Verkehrsmittel.


Bei besagten drei Elementen handelt es sich jedoch nur um den Anfang einer ganzen Reihe von Projekten, die derzeit und in den kommenden Jahren realisiert werden, um der wachsenden Nachfrage gerecht zu werden.

 

Wie CFL-Generaldirektor Marc Wengler im Gespräch mit dem „Luxemburger Wort“ erklärt, sei die Zahl der Zugpassagiere in den vergangenen zehn Jahren nämlich um mehr als 60 Prozent gestiegen – „nach langer Stagnation“. Die Takte seien daraufhin nach und nach erweitert worden, weitere Haltestellen kamen hinzu – in den vergangenen 15 Jahren insgesamt fünf. An der Struktur des Netzes habe sich währenddessen jedoch kaum etwas verändert. Aus diesem Grund seien die beiden neuen Haltestellen in Pfaffenthal und Howald denn auch eine Herausforderung für die Eisenbahngesellschaft.

 

Neuer Beruf „Machiniste funiculaire“

 

Trotzdem spricht der CFL-Generaldirektor im Hinblick auf diese beiden Stationen von einem „Quantensprung“. Nicht nur wird die Eisenbahn damit an das Kirchberg-Plateau angebunden, sondern auch an andere Transportmittel. Für die Passagiere der Nordstrecke sei dies „ein enormer Vorteil“, so Wengler, könnten sie doch mit einer Zeitersparnis von rund 20 Minuten rechnen. Insgesamt wird es am Ende der Ausbauarbeiten drei Punkte geben, wo Tram- und Eisenbahnnetz aufeinandertreffen – bei der Roten Brücke, beim Hauptbahnhof und in Howald.

 

Eine Standseilbahn hat es bei der CFL – und überhaupt in Luxemburg – noch nie gegeben. So mussten im Hinblick auf dieses neue Transportmittel denn auch neue Berufsfelder geschaffen werden. Darunter jenes des „Machiniste funiculaire“. „Ein Team von etwa zwölf Mitarbeitern wird sich um die Standseilbahn kümmern, darunter in erster Linie die Maschinenbediener, aber auch zwei Betriebsleiter“, erklärt Marc Wengler. Besagte Mitarbeiter würden denn auch bereits seit über einem Jahr im Umgang mit dem „Funiculaire“ geschult, dies auch in Österreich und der Schweiz.

 

Die Arbeiten in Pfaffenthal schritten unterdessen zügig voran. Erst im Mai 2015 war mit dem Bau begonnen worden, erklärt Marc Wengler. Dabei musste das ganze Projekt bei laufendem Betrieb realisiert werden; während der Arbeiten wurde lediglich ein Gleis geschlossen. In den vergangenen Monaten wurde die Standseilbahn nun diversen Belastungstests unterzogen. „Eine der letzten Phasen bestand darin, alle möglichen Fehlerquellen einmal durchzugehen“, so Wengler. Nun sei man betriebsbereit.

 

Nach der Baustelle ist für die CFL jedoch gleichzeitig vor der Baustelle – beziehungsweise mittendrin. In Howald wird morgen erst einer von zwei Quais eröffnet, der zweite wird voraussichtlich 2024 fertiggestellt. Parallel dazu wird aber auch der Hauptbahnhof um zwei Quais erweitert. Ebenfalls noch in Arbeit ist der Ausbau des Viadukts Pulvermühle auf zweimal zwei Gleise, dessen Inbetriebnahme für 2019 geplant ist.

 

(www.wort.lu)

 

 

 

Alte Bekannte

 

Vous trouvez un article sur l'ancien tram, paru dans le Luxemburger Wort du 8 décembre 2017, en cliquant ici.

 

 

 

„Ich musste einige Überzeugungsarbeit leisten“

CSV-Fraktionschef Claude Wiseler sieht die Tram und die Standseilbahn nur als Puzzleteile eines gesamten Mobilitätskonzeptes

VON NADINE SCHARTZ

Ich freue mich darüber, dass die Tram nun fährt. Damit ist der erste Schritt getan“, sagt der CSV-Fraktionschef und vorige Transportminister Claude Wiseler. Dennoch sieht er der Inbetriebnahme der Straßenbahn und der Standseilbahn mit gemischten Gefühlen entgegen: „Heute werden diese Projekte als Normalität dargestellt, aber sie haben mich in meiner Zeit als Minister viel Zeit und Energie gekostet. Es musste einige Überzeugungsarbeit geleistet werden, um alle Partner ins Boot zu bekommen.“

Und: „Wenn heute davon gesprochen wird, dass ,Déi Gréng‘ nicht nur jahrelang geplant, sondern die Tram nach Luxemburg gebracht hätten, stört mich das schon.“ Immerhin sei das Projekt unter seiner Amtszeit komplett ausgearbeitet worden und er selbst habe den Gesetzestext 2013 deponiert. Dass die Arbeiten in dieser Legislaturperiode umgesetzt werden konnten, sei nur dank dieser Vorarbeit möglich gewesen.

Tram ersetzt Milliardenprojekt

Ein Rückblick: Sollte Ende der 1990er-Jahre das Projekt BTB („Bus-Tram-Bunn“) das Verkehrsproblem lösen, wird dieses Vorhaben um das Jahr 2000 aus technischen Gründen verworfen. Neue Pläne werden ausgearbeitet. Die nächste Variante sieht unter anderem eine neue Schienenverbindung vom Hauptbahnhof über Findel nach Kirchberg bis Dommeldingen vor. 2006 sprechen der Ministerrat und die Stadt Luxemburg sich aber für die Verwirklichung eines „Tram léger“ aus. Claude Wiseler erinnert sich: „Als ich im Jahre 2009 Transportminister wurde, lag das Vorprojekt für die ,leichte Tram‘ vor, dies allerdings mit diversen Überbleibseln aus der BTB-Zeit, darunter die neue Zugverbindung.“ Ein Projekt, das satte 1,2 Milliarden Euro veranschlagen sollte.

Doch zu dieser Zeit herrscht die Wirtschaftskrise. Hinzu kommt, dass die Umsetzung des vorliegenden Projektes diverse Komplikationen, wie etwa der Bau eines Zugbahnhofes nahe der Luxexpo, mit sich gebracht hätte. „Sowohl zeitlich, verwaltungstechnisch als auch finanziell war es unmöglich, dies in den Griff zu bekommen,“ erklärt Wiseler. Die Pläne werden daraufhin überarbeitet, wobei die Tramtrasse vom Hauptbahnhof bis zum Flughafen verlängert wird.

Aber: „Die Schwachstelle ist der Hauptbahnhof, der trotz seines geplanten Ausbaus an seine Grenzen stößt.“ Demnach sei nach einem Knotenpunkt gesucht worden, um den Bahnhof zu entlasten. Die einzige Möglichkeit bietet sich an jener Stelle an, wo sich heute die Standseilbahn befindet. Ein Projekt, das ebenfalls unter Claude Wiseler in die Wege geleitet wurde. „Als ich Anfang 2011 vorgeschlagen habe, eine überdeckte Rolltreppe zu bauen, um die 42 Meter zwischen Pfaffenthal und der Brücke zu überwinden, gab es schon erstaunte Gesichter. Die Idee an sich, leuchtete ihnen aber ein“, erzählt er. Da diese Verbindung sich aber nicht für Kinderwagen, Rollstühle oder Fahrräder eignete, wurde nach und nach das Projekt „Funiculaire“ geboren.

Eine Etappe statt zwei Phasen

„Danach war ich bei den einzelnen Parteien sowie der Stadt Luxemburg, um alle von dem Projekt zu überzeugen“, so Wiseler. Vor allem die hauptstädtische DP habe sich schwer getan, aber schließlich doch zugestimmt.

In puncto Bau der Tramtrasse kritisiert er, dass man von den ursprünglichen Plänen abgesehen habe und die erste Phase nun in zwei Etappen durchgeführt werde. Anfangs sei nämlich vorgesehen gewesen, die Strecke in einer Etappe vom Hauptbahnhof in Richtung Luxexpo zu verlegen. „Dadurch wäre die Tram zwar erst ein Jahr später gefahren, aber man könnte die Menschen direkt dort abholen, wo sie ankommen – und das ist eben nun mal am Hauptbahnhof“, heißt es.

Hinzu komme, dass der nun fertige Abschnitt mit Abstand die einfachste Trasse sei. Deutlich schwieriger würden sich die Arbeiten in der Avenue de la Liberté gestalten, wo der gesamte Untergrund erneuert werden müsse. Auch den Bustransport hätte man so in einem Zuge organisieren können.

Aber: Mit der Tram allein sei das Verkehrsproblem in und um die Hauptstadt noch nicht gelöst. Wiseler unterstreicht: „Ich sehe die Tram und die Standseilbahn nur als Puzzleteile eines umfassenden Mobilitätskonzeptes, das bis über die Landesgrenzen hinaus funktionieren soll.“ Demnach bedauert er auch, dass man sich nur auf die Tram konzentriert habe, statt parallel dazu die erforderlichen Maßnahmen zu treffen, um die Autos aus dem Stadtzentrum heraus zu bekommen. So seien etwa die notwendige Verwirklichung des Boulevard de Cessange und des Boulevard de Merl bis dato noch nicht in Angriff genommen worden. „In der kommenden Legislaturperiode bleibt also noch viel zu tun“, sagt Claude Wiseler.

Luxemburger Wort vom Donnerstag, 7. Dezember 2017, Seite 21

Kommentar : Vielleicht sollte man die Parkfläche für Privatautos im Stadtzentrum nicht unnötig erweitern, um die Leute nicht zu ermuntern, mit dem Auto ins Stadtzentrum zu fahren. Ich bin mir nicht sicher, ob die CSV sich in dieser Frage immer konsequent ist.

Claude Oswald

 

 


Invité vun der Redaktioun (7. Dezember)
Théid Faber: Politik hat kee Gestaltungswëlle beim Tram

Invité en Donneschdeg de Moien um 10 op 8 war den Théid Faber, fréiere President vum Mouvement écologique.

Bäi allen inhaltlechen Ausernanersetzungen, ass et haut onverständlech, datt d'Politik an der Zäit net dee Gestaltungswëllen hat, dee se hätt missen hunn, dat sot de laangjärege President vum Mouvement écologique Théid Faber en Donneschdeg de Moien, am Kontext vum Lancement vum Tram. Deen Tram huet fir de Mouvement écologique eng grouss symbolesch Bedeitung. Eng Visioun géif Realitéit. Eng Visioun vun engem anere Stadbild.

Et war net d'Politik mä de Mouvement, deen 1991 d'Iddi vun engem modernen Tram an der Stad lancéiert huet a carrément auslännesch Konstruktiounsfirmae vu sech aus ugeschriwwen huet, fir en Tram fir d'Stad ze plangen. Duerch vill Etuden, laang Diskussiounen an ëmmer nees nei Pläng vu Luxtraffic iwwer BTB a mobilitéit.lu sollt et um  Enn 25 Joer daueren, bis datt de Projet Tram säi Wee gaang ass.

Vun 92 bis haut, dat wier e ganz laangen Dag, sou den Théid Faber. Déi ganz Entwécklung hätt eppes vun der Iechternacher Sprangprëssessioun gehat, mat vill Ausernanersetzungen, Polemik an deels och Ënnerstellungen. Donieft hätt et duerchaus och inhaltlech Diskussioune ginn, wat da lo déi bescht Variant fir Lëtzebuerg wier. Ob Train-Tram, e liichten Tram, oder oder. D'Eisebunnsverbindung vun der Gare op de Findel, déi ënnert anerem aus Käschtegrënn fale gelooss gouf. Mat der Zäit wier d'Diskussioun awer ëmmer méi calme gefouert ginn.

Politiker hätten och am Laf vun der Zäit hir Meenung geännert, sou den Théid Faber en Donneschdeg de Moien.

Lo fiert den Tram also an 3 Deeg. Den Tram ass och fir de Mouvement awer och nëmmen een Deel vun enger ganzer Mobilitéitsketten. An e stellt d'Politik virun en neien Defi. Fir datt d'Leit dat neit Verkéiersmëttel an Usproch huelen, misst garantéiert sinn, datt d'Offer klappt, datt d'Ëmklamme klappt. D'Qualitéit vum ëffentlechen Transport misst sech verbesseren an d'CFL hir deels systematesch Retarden ofbauen. Den Tram wier eng riseg Chance, déi ee misst ergräifen, mä anengems awer och e groussen Defi.

 

www.rtl.lu, 07.12.2017

 

 

 

www.tageblatt.lu

 

Déi Lénk kritisieren Gehälter der Tramfahrer

 

Déi Lénk Stadt haben in einer Mitteilung auf Facebook die Tram kritisiert. Eigentlich steht die Partei hinter dem Projekt, doch mit der Bezahlung der Fahrer will sie sich nicht zufrieden geben: Die Gehälter der Tramfahrer seien zu niedrig. Sie seien “nah am Mindestlohn”, so der Abgeordnete und Gemeinderat David Wagner auf Nachfrage des Tageblatt. Genaue Zahlen konnte er aber nicht nennen.

 

Weiterhin seien für die Tramfahrer, die meisten würden aus dem nahen Ausland kommen, Schichten von bis zu 13 Stunden vorgesehen, so die Partei in ihrer Mitteilung: “Mit mindestens ein bis zwei Stunden Hin- und Rückreise, kann man davon ausgehen, dass den Menschen nur 9 Stunden Privatleben bleiben – schlafen inbegriffen”.

 

“Ein Tramfahrer sollte soviel verdienen wie ein Zugfahrer oder ein Busfahrer”, findet Wagner. “Gerade in Hinblick auf die Diskussionen um den Mindestlohn”. Tatsächlich hatte Arbeitsminister Nicolas Schmit vor etwa einer Woche die Debatte um den Mindestlohn wieder angefacht, indem er bei einem Interview auf RTL eine Erhöhung forderte. Der Koalitionspartner DP reagierte mit Ablehnung auf den Vorschlag des Arbeitsministers.

 

Erster Unfall am Freitag

 

Die Tramfahrer werden von der Gesellschaft Luxtram eingestellt, die zu zwei Drittel dem Staat und zu einem Drittel der Stadt Luxemburg gehört. Laut Wagner sei es ein Fehler gewesen, den Tram, der ja eigentlich ein öffentlicher Dienst ist, nicht als solchen funktionieren zu lassen. Die anderen Parteien seien in ihrer “liberalen Denkweise” gefangen und hätten deswegen wohl diese Entscheidung getroffen.

 

Die Tram, die am kommenden Sonntag ganz offiziell eröffnet und dann erste Passagiere transportieren wird, hatte an diesem Wochenende ihren ersten Unfall. Am Freitagabend kurz vor 10 Uhr nahm ein Auto der Tram die Vorfahrt. Beim Zusammenprall wurde der Autofahrer verletzt. Transportminister François Bausch (déi gréng) hatte dem Tageblatt gegenüber kürzlich erklärt, dass es nicht ausgeschlossen ist, dass es mit der Tram als weiteren Verkehrsteilnehmer zu Unfällen kommen könnte.

 

“Die Arbeit als Tramfahrer ist nicht einfach”, so David Wagner. Man müsse immer konzentriert sein und habe mit Menschen zu tun. Auch deswegen sei es wichtig, dass die Bezahlung stimme. Bei gutem Arbeitsklima würde man auch besser arbeiten, meint der Abgeordnete.

 

www.tageblatt.lu, 3. Dezember 2017

 

 

Kommentar : Nicht nur die Fahrzeuge von Luxtram lassen zu wünschen übrig. Auch die Arbeitsbedingungen und die Entlohnung der Tramfahrer sind nicht zufriedenstellend, obschon der Staat und die Stadt Eigentümer der Gesellschaft sind.

 

 Hat die Politik in einem wichtigen Bereich versagt ? Was sagen unsere Regierungssozialisten, die so gerne nach den Sternen greifen ? Haben sie die Sorgen und Nöte der kleinen Menschen vergessen ?

 

 

 

 

Nach fiert den Tram net offiziell, a scho geet et lass ... :

 

Chauffer fiert duerch Rout a kollidéiert mam Tram


E Freideg den Owend géint 21.45 Auer koum et an der Avenue Kennedy um Kierchbierg zu engem Accident, an deen och den Tram verwéckelt war.


 

(Foto : Laurent Klein)

 

An zwar sinn eng Bunn an een Auto net laanschtenee komm. Bei deem Knuppert gouf eng Persoun blesséiert, esou den 112 a sengem Bulletin um fréie Samschdeg de Moien.

Den Accident ass op der Kräizung vun der Avenue Kennedy mam Boulevard Konrad Adenauer geschitt.

Nieft der Police waren eng Ambulanz an den Interventiounszenter aus der Stad op der Plaz.

An d'Police präziséiert an hirem Bulletin, datt et zum Accident komm ass, well de Chauffer, dee vum Boulevard op d'Avenue fuere wollt, d'rout Luucht net respektéiert hat an dunn an de viischte Waggon vum Tram gerannt ass.

De Chauffer vum Auto gouf liicht blesséiert, säi Gefier awer méi uerg beschiedegt. De Schued um Tram hält sech a Grenzen, esou nach d'Police.

 

(www.rtl.lu, 2. Dezember 2017)

 

 

 

www.chd.lu

30 novembre 2017
Deux votes sur le tram prévus avant Noël

Image

Le tram devrait s'arrêter à la future gare à Howald.


Une dizaine de jours avant l’inauguration du premier tracé du tram, le Ministre du Développement durable et des Infrastructures François Bausch a présenté à la commission parlementaire compétente les deux prolongements du réseau du tram entre la Gare Centrale vers la Cloche d’Or (7209) et entre le circuit de la Foire internationale et l’aéroport du Findel (7210).

A partir du 10 décembre, les premiers passagers pourront profiter du premier tronçon qui, dans un premier temps, desservira le trajet entre le Pont Rouge et la Luxexpo. La deuxième partie de ce premier tronçon allant jusqu’à la place de l’Etoile sera ouverte par étapes avant l’été 2018, a rappelé le Ministre Bausch aux députés.

Tronçon Gare- Cloche d’Or

7 nouvelles stations devraient être construites sur une ligne supplémentaire de 4,9 km entre la Gare Centrale de la ville de Luxembourg et la Cloche d’Or. Ces stations comprennent trois pôles d’échanges : le lycée Bonnevoie, la future gare à Howald et la Cloche d’Or (à côté du futur stade national) et devraient soulager le trafic menant vers le sud du pays, a souligné le Ministre Bausch. La construction de ce deuxième tronçon dépend des avancements des travaux de la construction de la nouvelle route nationale N3, a également ajouté le Ministre Bausch.

Tronçon circuit de la Foire- Findel

En ce qui concerne le deuxième tronçon, le trajet de 3,9 km desservira le futur pôle d’échange du Heienhaff  (où on prévoit également la construction d’un P&R avec 4000 places de stationnement) ainsi que l’aérogare du Findel.


La fin des travaux des deux prolongements est prévue en 2021

Le coût total pour la construction de ces deux prolongements est estimé à 214 millions d’euros, a annoncé le Ministre aux députés. Une fin des travaux est prévue pour 2021.

Dans les prochains mois, plusieurs projets de loi concernant des projets de financement ou de construction de P&R seront déposées à la Chambre, a également annoncé le Ministre Bausch. Au-delà, de ces deux prolongements, le Ministère est en train de mener des études pour éventuellement relier Leudelange, Mamer, le quartier résidentiel du Kirchberg ainsi que Hollerich au tramway. La Présidente de la Commission Josée Lorsché (déi gréng) a été nommée rapportrice des deux projets de loi qui devraient être soumis aux votes en séance plénière mi-décembre.


 

Zanter en Donneschdeg
Den Tram fiert elo ënner normale Konditiounen

Nodeems den Tram déi lescht Méint haaptsächlech an der Nuecht e puer Testfaarte gemaach huet, geet et zanter en Donneschdeg an déi 2. Testphas.



Nach huet ee sech nach net ganz mam Gedanken Tram am alldeeglechen Trafic ugefrënnt. Wuel och, well e bis ewell nach net regelméisseg gerullt ass. Ganz anescht dann d'Bild zanter en Donneschdeg beim Rondpoint Serra, op eemol steet en dann do bei de Luuchten. Sou muncheree wäert sech do d'Fro gestallt hunn, wéi ee sech am Trafic verhält.

Och hei gëllt et d'Luuchten ze respektéieren, net op de Schinnen ze lafen oder mam Auto drop stoen ze bleiwe bei engem Stau.

Richteg beäntwert kritt een dës Fro awer ganz sécher an den nächsten Deeg, den Tram rullt nämlech elo ënner reelle Konditiounen, dat heescht mat Stoppen op de verschiddenen Arrêten iwwert de Kierchbierg. Dat ganzt natierlech ouni Passagéier. Den 10. Dezember ginn d'Waggonen eng éischte Kéier och vu Leit besat.

www.rtl.lu    3. November 2017

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Kommentar :

Déi geschwonge Form vun der Daachkonstruktioun léisst de Verdacht opkommen, dass nees e Kënschtler um Wierk war deem et méi op den Design ukoum, wéi op d'Leit déi gären ënnerdaach stinn, wann et reent. Sou wéi deen Daach ausgesäit, ginn nämlech vill Leit naass.

Mat aner Wierder, dat Ganzt ass nees eng Fehlkonstruktioun, grad wéi den Tram selwer mat sénge grousse Radkëschten an den "Y"-Staangen.

Claude

 

 

 

Nächste Tram-Phase wird konkret

8,8 zusätzliche Kilometer für 214 Millionen Euro

Infrastrukturminister François Bausch stellt Finanzierungsgesetz vor

 

 

 

(DL) - In weniger als zwei Monaten legt die Tram ihre erste Fahrt zurück - zunächst zwischen Luxexpo und Roter Brücke. In einem nächsten Schritt geht es weiter via die "Stäreplaz", das Stadtzentrum bis zum Hauptbahnhof. Nun werden auch die Verlängerungen der Trasse, zwischen "Gare centrale" und "Cloche d'Or" einerseits sowie zwischen Luxexpo und Findel andererseits, konkret.

 

Am Freitag hat Infrastrukturminister François Bausch dem Ministerrat diese beiden zusätzlichen Streckenabschnitte vorgestellt - genau wie den Gesetzentwurf zur Finanzierung. In den nächsten zwei Wochen wird es dem Parlament zur Abstimmung vorgelegt.

 

Demzufolge soll die 4,9 Kilometer lange Strecke vom Hauptbahnhof via den neuen Peripheriebahnhof Howald bis zum neuen Fußballstadion in Kockelscheuer/Cloche d'Or rund 114,9 Millionen Euro kosten -   inklusive der Haltestellen, der benötigten Fahrzeuge und etwaiger Kompensationsmaßnahmen. Insgesamt werden auf diesem Teilstück sieben Haltestellen bedient, darunter drei sogenannte "Pôles d'échange" (Lycée Bonnevoie, Howald, Cloche d'Or). Sieben Fahrzeuge werden auf dieser Strecke eingesetzt.

Von der Luxexpo aus wird es nach dem Ausbau der Strecke über 3,9 Kilometer bis zum Flughafen Findel gehen. Hier werden zwei Haltestellen bedient, "Héienhaff" ("Pôle d'échange" mit P&R) und "Findel".  Kostenpunkt hierfür: 99,1 Millionen Euro. Zwischen den Ausstellungshallen in Kirchberg und dem Flughafen werden fünf Tramfahrzeuge verkehren.

Die Kosten für beide Verlängerungen werden gänzlich vom Staat übernommen - anders als beim Streckenabschnitt Luxexpo-Hauptbahnhof, wo die Stadt Luxemburg für ein Drittel der Kosten aufkommt.

 

Insgesamt wird die Tramstrecke zwischen Findel und Cloche d'Or 16,4 Kilometer lang.

In einer späteren Phase soll die Straßenbahn weiter ausgebaut werden - Richtung Hollerich/Cessingen, von der Cloche d'Or aus bis nach Leudelingen, von der "Stäreplaz" aus bis nach Mamer und in Kirchberg über den Boulevard Konrad Adenauer. Wie François Bausch erklärte, werden diese Verlängerungsvorhaben jedenfalls in den "Plans sectoriels" festgehalten.

 

www.wort.lu

 

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Kommentar : D'Iddi vum Tram ass gutt. Awer den Tram vu Luxtram ass schlecht. An dowéinst ass déi ganz Saach kontraproduktiv

 

Mais bon, iergendwéi kritt de grénge Minister säin Tram gefëllt, och wann d'Leit hien heemlech verfluchen, well se keng Plaz fir hir Been hunn, oder well se mam Kapp an déi komesch "Y"-Staange stoussen. An ech si mer bal sëcher, dass déi iwwerflësseg Spillerei mat deene blobeliichte Sëtzrécker bei der éischter Revisioun verschwënnt.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

Luxemburger Wort, 12. Oktober 2017

 

Kommentar : Hoffentlech ass dat net erëm esou en Designer-Modell, wou d'Leit spéiderhin am Reen stinn.

Bei Luxtram ass een an der Tëschenzäit esou munnech negativ Iwwerraschung gewinnt.

 

Claude Oswald

 

 

 

Et gouf Téitschen

 

Wéi mer um Internet liese kënnen, sollt den 23. September 2017 eng Porte ouverte bei Luxtram sinn. Wéi den Tram aus dem Schapp gefuer ass, ass hien allerdings an e Podest gerannt, sou dass de Spaass séier eriwwer war. Ob et Blesséierter gouf, ass net bekannt.

 

 

Op der Foto bei RTL gesäit een däitlech, wéi kleesber den Tram gebaut ass. Et géif ee mengen, déi ganz Karosserie wier nëmme Kartong.

 

Et muss engem deemno Angscht ginn, wann ee sech virstellt, wat an Zukunft nach alles passéiert, wann den Tram am richtege Verkéier Autoen oder Camionen ze pake kritt.

 

Claude

 

 

LEITARTIKEL
Auto-"Ban"

DIANE LECORSAIS

"Sind die Straßen erst mal überlastet, gestaltet sich eine Entlastung bekanntlich schwer."

Es war ein symbolisch bedeutungsvoller Moment, als vergangene Woche mit der feierlichen Freigabe des Boulevard Kockelscheuer ein erster, zentraler Bestandteil des neuen Mega viertels Ban de Gasperich eingeweiht wurde. Gleichzeitig war es allerdings auch ein ernüchternder Moment. Der Weg hin zu weniger autobasierten und vielmehr auf die öffentlichen Verkehrsmittel ausgerichteten Stadtteilen ist offenbar noch lang – und das Ziel von verkehrsberuhigten Vierteln in weiter Ferne.

Bis zu 41,5 Meter ist der neue Boulevard breit – mit sechs Fahrspuren, davon zwei für den Busverkehr bzw. ab 2020/2021 für die Tram. Dass der Straßenbahn hier späterhin eine zentrale Rolle zukommen wird, steht außer Frage; es ist genauso richtig wie wichtig. Trotzdem ist zu befürchten, dass das Auto die Nummer Eins bleiben wird.

Denn beim Boulevard Kockelscheuer handelt es sich lediglich um die erste – und zwar die kleinere – von zwei Hauptverkehrsadern im "Ban". Mit seinen 48,5 Metern Breite wird der senkrecht dazu verlaufende Boulevard Raiffeisen, der die Rue Raiffeisen ersetzen wird, noch um einiges größer. Auch hier werden Fahrspuren für den Busverkehr reserviert, die Tram wird diese Achse nicht befahren. Zudem sind sogenannte "Voies de desserte" vorgesehen, die die Verkehrsteilnehmer zu den Einfahrten der einzelnen (Büro)-Gebäude führen. Ähnlich wie bei der Avenue Kennedy in Kirchberg also. Doch will man diese Ähnlichkeit wirklich haben?

Schließlich ist genau das eines der Probleme des Kirchberg Viertels. Die gigantische Verkehrsachse teilt das Viertel in zwei, sie macht es vor allem auto-, dafür aber umso weniger fußgänger- und radfahrerfreundlich. Sicher, bei der Avenue Kennedy handelt es sich eigentlich um die Überreste der Autobahn. Und damals, als das Viertel auf dem Plateau entwickelt wurde, war es nun mal Usus, den Fokus auf den Individualverkehr zu legen. Heute darf es dies aber nicht mehr sein. Im Gegenteil. Schließlich möchte die Regierung erreichen, dass bis 2020 ein Viertel aller motorisierten Bewegungen auf den öffentlichen Verkehr entfällt. Immerhin wurden die Fußgänger und Radfahrer diesmal von vornherein eingeplant. Aber reicht das aus?

Angesichts der Ausmaße, die das Stauproblem inzwischen landesweit, aber besonders in und um die Hauptstadt angenommen hat, ist dies schwer vorstellbar. Klar, beim Ban de Gasperich handelt es sich momentan noch um eine Großbaustelle. Dass es da zu Engpässen kommt, war zu erwarten. Dennoch ist es besorgniserregend, wie sehr es schon heute in diesem Bereich staut. In den Sommerferien – und zu einem Zeitpunkt, an dem erst etwas mehr als zehn Prozent der rund 20 000 Beschäftigten, mit denen lang-fristig gerechnet wird, hier arbeiten. Von den Besuchern des Einkaufszentrums, das ab Frühjahr 2019 Kunden aus der gesamten Großregion anziehen soll, mal abgesehen. Genau wie von den (immerhin) ein paar Tausend Bewohnern, die das Viertel ab Ende des Jahres beziehen werden. Sind die Straßen erst mal überlastet, gestaltet sich eine Entlastung bekanntlich schwer.

Das neue Viertel am "Ban" wird sich in den kommenden Jahren, wie ein gigantisches Puzzle, Stück für Stück zusammenfügen. Und so wird auch das ganze Ausmaß dieses doch beachtlichen Vorhabens nach und nach sichtbar. Was bereits heute feststeht: Man hat groß gesehen beim Ban de Gasperich. Vielleicht zu groß.

diane.lecorsais@wort.lu

Luxemburger Wort vom Donnerstag, 7. September 2017, Seite 3

 

 

 

D'USILL - den Daachverband vun den Interesseveräiner aus der Stad Lëtzebuerg - huet an de vergaangene 25 Joer vill "Unsinn" erzielt. Si ware bekanntlech géint den Tram, a si schéinen deen och haut nach net ze verdauen.

Et stung dëser Deeg am "Journal" :

Die Forderungen der USILL im Vorfeld der anstehenden Gemeindewahlen

In ihrer neulich abgehaltenen Generalversammlung hat die "Union des Syndicats d'Intérêts Locaux de la Ville de Luxembourg" (USILL), in der die Interessenvereine der meisten Stadtviertel zusammengeschlossen sind, eine Resolution verabschiedet. Was den neuen Bebauungsplan (PAG) der Stadt Luxemburg betrifft, so moniert die USILL, dass ein wichtiger Bereich, nämlich die Mobilität und der innerstädtische Verkehr, nicht berücksichtigt wurde.

Demnach verlangt die USILL-Generalversammlung in ihrer Resolution die Beibehaltung aller Bahnverbindungen in die Hauptstadt, auch die, die von einer sogenannten Nebenlinie - sprich: Düdelingen, Rümelingen, Audun und Diekirch -, auf eine Hauptlinie stoßen, indem direkte Zugverbindungen von und nach Luxemburg eingesetzt werden. Die politischen Verantwortlichen der Stadt Luxemburg werden aufgefordert, Machbarkeitsstudien über "innovative Transportmittel" wie "Monorail" oder "Tram aérien" durchzuführen.

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Ech weess net, wat déi Leit mat deem "Monorail" bezwecken. Ass do iergendee Constructeur deen hinnen eng Prime versprëcht, wa se sech bei de Politiker duerchsetzen ? Wat erwaarde se sech konkret vun engem "Monorail" ? A wou soll dee fueren ?

Oder hunn déi Leit Erënnerungen un d'1960er Joeren, wéi d'Iddi vun engem "Monorail" modern war ?

Komescherweis huet déi soi-disant aalmoudesch Eisebunn d'1960er Joeren iwwerlieft, awer de "Monorail" huet sech weltwäit ni esou richteg duerchgesat. Vläicht huet dat domat ze dinn, dass d'Leit naiv an onrealistesch Erwaardungen an de "Monorail" haten.

 

Claude

 

 

 

 

(www.wort.lu)

 

Lëschteg ass et ze gesinn, wéi verkrampft d'Politiker op deenen onkamoute Plaze sëtzen an net esou richteg wëssen, wou se hir Been stelle sollen. Mä si hu jo nëmme fir d'Foto poséiert a musste sech den Tram net mat 200 oder 300 Leit deelen. An deem Fall wier et nämlech richteg enk ginn.

 

Wahrscheinlech ass et esou, dass déi implizéiert Politiker a Verwaltungscheffen zimmlech iwwerflächlech sinn, an dass et hinnen egal ass, wéi d'Leit spéiderhin transportéiert ginn. Wahrscheinlech ginn se dovun aus, dass et ville Leit net direkt opfällt, dass den Tram vu Luxtram net dat Gielt vum Ee ass.

 

Respektiv wäerte se d'Leit forcéiere mam Tram ze fueren, an de Gebrauch vum Privatauto systematesch aschränken. Sou kënne se da behaapten, den Tram wier e grousse Succès.


Fir mech ass a bleift den Tram vu Luxtram eng grouss Enttäuschung. Ech soen dat éierlech a riichteraus, och wann eenzel Kollegen aus der Tram asbl respektiv aus der AÖT mech am Reen stoeloossen, oder wa se mer an de Réck falen.

 

Claude

 

 

 

Die Tram auf dem Vormarsch
Erste Gleise auf der Roten Brücke

 



Im Dezember könnte die Straßenbahn bereits bis zum Großen Theater fahren.
Foto: Lex Kleren

Veröffentlicht am Dienstag, 25. Juli 2017 um 17:45

(rr) - Vor zwei Wochen hat die Tram ihre erste Testfahrt über das Kirchberg-Plateau hingelegt. Am 10. Dezember wird sie ihre regulären Fahrten von der 
Luxexpo bis zum „Pont Grande-Duchesse Charlotte“ aufnehmen, eventuell sogar bis zum „Grand Théâtre“.

Die wichtigste Voraussetzung hierzu – die Verlegung der Schienen auf der Roten Brücke – begann am Dienstag. Am Glacisfeld, wo die Gleise bereits liegen, wird die Straßenbahn in einer zweiten Phase, im Frühjahr 2018, verkehren.

 

www.wort.lu

 

 

 

12 juillet 2017

 

La caste politicienne fête la sortie du premier tram, mais tout ne baigne pas dans l'huile. Il semble que les collaborateurs de Luxtram -  simples salariés à la merci de leur direction - soient les victimes d'une politique néolibérale qui voit les conditions de travail et les salaires à la baisse. Le syndicat des cheminots commence à se poser des questions.

 

 

 

 

 

Luxemburger Wort, 7. Juli 2017

 

Kommentar : Nach meinen Erfahrungen wird Luxtram die Tramfreunde zum Narren halten und die Testfahrt um ein paar Stunden vorverlegen. Bürgerbeteiligung ist nämlich bei Luxtram nicht gefragt.

 

Ansonsten wird man sich wohl oder übel an das Tram-Monster gewöhnen müssen.

 

Claude Oswald

 

 

 

 

Arbeiten an der neuen Straßenbahn

Tram-Gleise erreichen Limpertsberg

Am 10. Dezember wird der erste Streckenabschnitt in Betrieb genommen

 

 

 

 

(DL) - Langsam aber sicher hält die Trambahn Einzug ins Stadtbild. Die Gleisverlegung schreitet voran, wie unser Bild vom Rande des Glacisfeldes zeigt: Inzwischen haben die Schienen den Stadtteil Limpertsberg erreicht.


In diesem Bereich wird die Straßenbahn jedoch erst nächstes Jahr verkehren. In einer ersten Phase, ab kommendem 10. Dezember, fährt sie zunächst nur von der Luxexpo bis zur Roten Brücke, möglicherweise auch schon bis zum Großen Theater. In einem nächsten Schritt geht es dann weiter bis zur „Stäreplaz“, wo ein wichtiger Knotenpunkt entlang der Tramtrasse entsteht.


Vier Tramfahrzeuge wurden schon geliefert

 

Derzeit werden aber nicht nur Gleise verlegt. So wurden bereits vier Tramfahrzeuge aus der Fabrik des Herstellers CAF im spanischen Saragossa geliefert, die Masten für die Oberleitung werden installiert und die Tramfahrer eingestellt.

 

Die Betreibergesellschaft Luxtram hat unterdessen ihren neuen Sitz auf dem Gelände des „Centre de remisage et de maintenance“ bezogen. Hier entsteht auch die zentrale Leitstelle für den Trambetrieb - der "Poste de commande centralisé".

 

Im Juli wird erstmals eine Tram das Depot verlassen – für eine Probefahrt über die Avenue Kennedy. Im November wird dann mit der sogenannten „Marche à blanc“-Phase begonnen – sprich mit Tests unter komplett realen Bedingungen.

 

www.wort.lu

 

1 Kommentar

 

Norbert Colling ·
Staatliche Hochschule für Musik Köln
Traurig, aber leider wahr!

 

 

 

Ein steinernes Kleid für den Bahnhof Pfaffenthal-Kirchberg

 

 

Luxemburg. Seit Monaten bietet sich Passanten in der Rue Saint-Mathieu in Pfaffenthal ein spektakulärer Anblick. Hier entsteht bekanntlich der neue Bahnhof Pfaffenthal-Kirchberg, wo Zugpassagiere auf die Standseilbahn umsteigen können, die sie binnen 63 Sekunden auf das Kirchberg-Plateau befördert. Das Bahnhofsgebäude ist inzwischen deutlich zu erkennen. Dieser Tage wurde ein Teil der Betonstruktur mit Steinen verkleidet, damit sich das Bauwerk auch gut in seine Umgebung einfügt. Das rund 40 Meter hohe Gebäude umfasst drei Ebenen: Unten gelangen Fußgänger und Radfahrer in den Bahnhof, im mittleren Bereich halten die Züge an und ganz oben, auf der dritten Etage, fährt der „Funiculaire“ ab. Los geht es am Sonntag, dem 10. Dezember – ab diesem Tag können Zugpassagiere am neuen Bahnhof ein- und aussteigen, mit dem „Funiculaire“ nach Kirchberg fahren und auf der Roten Brücke in die Trambahn steigen. DL

 

 

 

(FOTO: PAUL PUTZEYS)


Luxemburger Wort vom Dienstag, 6. Juni 2017, Seite 17

 

 

 

 

Brückenschlag am „Contournement“
Über das neue Bauwerk wird die Tram die Autobahn A6 überqueren

 


VON DIANE LECORSAIS


Entlang des „Contournement“ zieht nicht mehr nur der künftig höchste Wasserturm des Landes die Blicke auf sich. In unmittelbarer Nähe davon entsteht auch eine weitere Brücke über die A6 – über die späterhin die Trambahn fahren wird.
 
Autofahrern, die in den letzten Tagen und Wochen auf der Autobahn A6, zwischen dem Cessinger und dem Gaspericher Kreuz, unterwegs waren, dürfte neben dem markanten neuen Wasserturm noch eine weitere Veränderung aufgefallen sein. Und zwar springen einem dort seit Kurzem vier große Betonpfeiler ins Auge – die Vorzeichen einer neuen Brücke über den „Contournement“.


Wie die „Ponts et chaussées“ auf Nachfrage hin bestätigen, handelt es sich dabei um das Bauwerk, das als Verlängerung des Boulevard Kockelscheuer, eine der beiden Hauptachsen durch das neue Viertel am Ban de Gasperich, dienen wird. Die Brücke wird denn auch die Zufahrt zum neuen Fußball- und Rugbystadion garantieren. Neben Fahrbahnen für Autos und Co. sowie einer Radpiste wird es darauf auch eine Tramspur geben. Die Straßenbahn wird das Viertel Ban de Gasperich von der „Gare Howald“ aus über die neue Rue Albert Einstein erreichen, von dort aus auf den 41 Meter breiten Boulevard Kockelscheuer, der bereits teilweise fertiggestellt wurde, abbiegen und anschließend weiter über die neue Brücke zu ihrer vorläufigen Endhaltestelle beim Stadion fahren.

 

Voraussichtlich ab März 2019 befahrbar

 

In diesem Bereich werden auch ein großer „Park&Ride“ sowie ein Busbahnhof geschaffen. Die Trambahn soll spätestens im Jahr 2021 bis hierher fahren. Das Fußballstadion soll indes bereits Anfang 2019 fertiggestellt sein. Die Arbeiten am Wasserturm, der mit seinen 68,5 Metern das höchste Exemplar des Landes wird, sind unterdessen bereits weit fortgeschritten – die Inbetriebnahme ist für den kommenden Herbst geplant.

 

Die Arbeiten an der neuen Brücke sollen ihrerseits im Laufe des nächsten Jahres abgeschlossen werden. Befahrbar ist sie dann allerdings noch nicht: Dies wird erst nach Fertigstellung des kompletten Streckenabschnitts – laut Straßenbauverwaltung im März 2019 – möglich sein.


Luxemburger Wort vom Freitag, 26. Mai 2017

 

 

 

 

Am 1. Mai 2017 veröffentlicht eine Luxemburger Tageszeitung folgenden Artikel auf ihrer Internet-Seite :

 

Straßenbahn über den Rhein

72 Jahre nach Ende des Zweiten Weltkrieges verkehrt wieder eine Straßenbahn über den Rhein und verbindet die Städte Straßburg (Frankreich) und Kehl (Deutschland).

 

Das Wochenende des 1. Mai ist ein Fest in Straßburg und in Kehl. Es fährt wieder eine Straßenbahn. Das Projekt hat 96,6 Millionen Euro verschlungen. Straßburg hat davon 70,4 Millionen getragen, Kehl 26,2 Millionen. Die Europäische Union hat den tragenden Pfeiler der Brücke mit 3,2 Millionen finanziert.

 

Eine Straßenbahn hatte Kehl und Straßburg bereits seit 1896 verbunden, als Straßburg nach dem Krieg von 1871 in das Deutsche Kaiserreich eingemeindet worden war. 1945 wurde die Linie unterbrochen. Seitdem war nach und nach der Verkehr mit Bussen und mit Zügen wieder aufgenommen worden. Die bestehende Brücke war allerdings durch den zunehmenden Autoverkehr dauernd verstopft und Busse fuhren abends nicht mehr. Die Züge zwischen Straßburg, Kehl und Offenburg hatten ihre besten Zeiten längst hinter sich.

 

Notwendigkeit offener Grenzen

 

Straßburg hatte im Vorfeld der Einweihung der ersten neuen Straßenbahn nach dem Zweiten Weltkrieg massiv Werbung in Deutschland gemacht. "Ich hoffe, dass jetzt auch Deutsche zu uns nach Straßburg kommen", sagte Straßburgs Bürgermeister Roland Ries bei der Einweihung. Bisher ist es umgekehrt. In Straßburg liegt die Arbeitslosigkeit bei über zehn Prozent, in Kehl bei 3,6 Prozent. Täglich pendeln 20.000 Straßburger nach Deutschland zur Arbeit. Während im französischen Präsidentschaftswahlkampf die Populisten um Marine Le Pen die Wiederherstellung nationaler Grenzen propagieren, sprach Roland Ries von der Notwendigkeit offener Grenzen. "Die Deutschen funktionieren nicht wie wir. Sie haben nicht die dieselbe Lebensweise und arbeiten anders. Wir müssen diese Unterschiede überwinden", sagte Ries. Notfalls hilft auch eine Straßenbahn dabei.

 

 

 

Der "Funiculaire" ist da

Skigebiet-Feeling in Kirchberg

Die Standseilbahn ist aufgegleist - und hat bereits erste Testfahrten zurückgelegt

 

 

 

(DL) - Vorletzte Woche sind die Kabinen aus der Schweiz eingetroffen - nun hat die CFL den neuen "Funiculaire" offiziell vorgestellt. Die vier Kabinen der Standseilbahn wurden bereits aufgegleist, die ersten Testfahrten absolviert.

 

Der Innenbereich der 11,8 Meter langen und 3,5 Meter breiten Kabinen wirkt äußerst geräumig. Jede Kabine bietet Platz für bis zu 168 Fahrgäste. Während der 63 Sekunden langen Fahrt bleiben die Fahrgäste in der Regel stehen. Es stehen jedoch auch jeweils 16 Klappsitze zur Verfügung. Durch die großen Fensterfronten werden die Passagiere eine tolle Aussicht genießen können. Auch das Dach ist komplett verglast.

 

Einen speziellen Fahrschein benötigt man nicht - die M-Kaart gilt auch für das Fahren mit dem "Funiculaire". Infrastrukturminister François Bausch gab aber zu verstehen, dass keine speziellen Fahrscheinautomaten installiert werden und im "Funiculaire" selber auch keine Kontrollen durchgeführt werden - sodass jeder willkommen ist, das neue Transportmittel zu erkunden - auch ohne Fahrschein.

 

 

 

 

Der "Funiculaire" wird bekanntlich am Sonntag, dem 10. Dezember, zum Inkfrafttreten des Winterfahrplans der CFL und gleichzeitig mit der "Gare Howald" und dem ersten Streckenabschnitt der Tram den Betrieb aufnehmen.

 

www.wort.lu

 

 

 

 

Aus dem Parlament

Vierte Tram-Erweiterung geplant

 

 

(mig) - Beim Großprojekt „Tram“ läuft alles wie am Schnürchen, finanziell und planerisch. Das teilte Infrastrukturminister François Bausch am Donnerstag der Chamber im Rahmen einer von der grünen Fraktion angefragten Aktualitätsstunde mit.


Erstes Teilstück bis zum Glacis

 

Wie bereits bekannt wird der erste Streckenabschnitt Luxexpo-Rote Brücke samt Standseilbahn und Bahnhof Pfaffenthal am 10. Dezember 2017 in Betrieb genommen. Bausch zeigte sich sogar zuversichtlich, dass bis dahin auch das Teilstück bis zum Glacis in Betrieb genommen werden könnte.

Bis zum Frühjahr 2018 soll der Ausbau bis zur „Stäreplaz“ fertig sein. Ab Herbst 2019 geht es von hier weiter bis zur „Place de Paris“ (Hauptbahnhof). Am Hauptbahnhof selbst ist kein Terminus geplant.

 

Die nächste Phase sieht den Ausbau bis zur „Gare Howald“ vor. Den entsprechenden Gesetzentwurf will François Bausch im kommenden Juli hinterlegen. Betroffen sind der Ausbau der Strecke Hauptbahnhof-Cloche d'or sowie Luxexpo-Findel. Letzterer wird zu 100 Prozent vom Staat finanziert, genau so wie die Arbeiten, die die Gemeinde Hesperingen betreffen.

 

Vier Tram-Erweiterungen

 

Andere große Infrastrukturprojekte, z. B. der Ausbau des Hauptbahnhofs auf sechs Gleise, wurden Bausch zufolge um fünf Jahre vorgezogen. Sie seien im Zusammenhang mit dem Projekt „Tram“ von zentraler Bedeutung. Eine Reihe von „notwendigen Fortsetzungsprojekten“ will Bausch spätestens Anfang 2018 vorstellen.

Bausch hat vier Tram-Erweiterungen in die Plans sectoriels einschreiben lassen: der Ausbau nach Leudelingen, nach Hollerich und nach Mamer. Neu ist eine zweite

Kirchberger Strecke über den „Boulevard Konrad Adenauer“ Richtung Luxexpo.

 

Kompensierungsmaßnahmen

 

Wegen des Großprojekts Tram müssen insgesamt 9,2 Hektar Wald kompensiert werden. Die Hälfte sei bereits vor Beginn der Arbeiten kompensiert worden, "so wie es das Gesetz vorschrieb", sagte Bausch. Die restlichen Kompensierungsmaßnahmen betreffen die geplanten Tram-Erweiterungen. Ort und Ausmaß der Kompensierungsmaßnahmen werden von Umweltministerin Carole Dieschbourg festgelegt.

 

(www.wort.lu)

 

Kommentar :  Alles schön und gut, wären da nicht die missratenen Tramfahrzeuge. Aber da schalten Bausch und Von der Marck auf Stur und lassen nicht mit sich reden. So wird die Freude am Tramfahren leider schnell getrübt.

 

 

 

 

Standseilbahn Pfaffenthal-Kirchberg

Der "Funiculaire" ist da

 

Am 10. Dezember legt das neue Verkehrsmittel seine erste Fahrt zwischen Pfaffenthal und Kirchberg zurück

Veröffentlicht am Dienstag, 21. März 2017 um 16:44

 

DL) - Nach der Tram im Februar ist am Dienstag das nächste neue Verkehrsmittel im Großherzogtum eingetroffen: Die erste Kabine der Standseilbahn, die Pfaffenthal mit Kirchberg verbindet, wurde aus der Schweiz geliefert. Noch ist sie aber sorgfältig eingepackt, wie unsere Bilder zeigen.

 

 

 

 

Hergestellt wurden die Kabinen von der schweizerischen Firma Garaventa, die auf Standseilbahnen spezialisiert ist. In den nächsten Tagen werden auch die nächsten drei Kabinen per Sondertransport nach Luxemburg gebracht. 

 

Eingesetzt werden nämlich zwei voneinander unabhängige Bahnen mit jeweils zwei Kabinen, die im Gegengewicht zueinander stehen. Unterwegs geht es für sie unter einer Art Tunnel hindurch. Dieser wurde bereits fertiggestellt. In dieser Unterführung kreuzen sich die jeweils zwei zusammengehörenden Kabinen, weshalb sich hier die beiden Ausweichstellen befinden.

 

Am Sonntag, dem 10. Dezember - dem Tag, an dem der Winterfahrplan der CFL in Kraft tritt, wird der "Funiculaire" seine erste Fahrt zurücklegen. In 63 Sekunden geht es vom neuen Bahnhof Pfaffenthal aus nach Kirchberg. Die Strecke beträgt 200 Meter, der Höhenunterschied liegt bei 40 Metern. 

 

Oben angekommen können die Passagiere auf die Tram umsteigen, die in einer ersten Phase nur über das Kirchberg-Plateau, später aber auch via die „Stäreplaz“ Richtung Stadtzentrum und weiter fährt.

 

(www.wort.lu)

 

 

 

Namen der Tram-Haltestellen

Einfach, aber sinnvoll

 

 

(che) - Am Montag hat Luxtram die Namen der ersten elf Tram-Haltestellen in Kirchberg und Limpertsberg preisgegeben.


Die Fahrgäste sollen die Stationen leicht finden, so Luxtram laut Pressemitteilung. Und so seien die Namen der Stationen an Gebäude, Straßen und öffentliche Plätze angelehnt, die in direktem Bezug zu den künftigen Umsteigezentren stehen werden.

 

Den Namensgebern war es indes wichtig, die Kultur und Geschichte des Großherzogtums einzubeziehen sowie die Luxemburger Sprache zu berücksichtigen.

 

Die Namen der Stationen in  Kirchberg sind:

  • Pafendall - Rout Bréck
  • Philharmonie - Mudam
  • Europaparlament / Parlement européen
  • Coque
  • Universitéit
  • Nationalbibliothéik / Bibliothèque nationale
    Alphonse Weicker
    Luxexpo

 

Die Namen der Haltestellen auf der "Place de l´Etoile" und in Limpertsberg lauten:

  • Stäreplaz / Etoile
    Faïencerie
  • Theater

 

Ende 2017 soll der erste Streckenabschnitt zwischen der Luxexpo und der Roten Brücke in Betrieb genommen werden.

 

(www.wort.lu)

 

Kommentar : Ganz logisch ist die Namensgebung nicht. Wenn man schon den "Stäreplaz" mit "Etoile" übersetzt, dann sollte man im Interesse der vielen französisch sprechenden Menschen die auf Kirchberg arbeiten, die Haltestelle "Pafendall - Rout Bréck" mit "Pfaffenthal - Pont Rouge" übersetzen.

 

Claude Oswald

 

Hier entsteht der neue „Diffbus“

Luxemburgs erster reiner Elektrobus im normalen Linienverkehr wird zurzeit in Polen gebaut

 

VON LUC EWEN

In Differdingen künden Plakate es bereits an. Bald wird der „Diffbus“ elektrisch. Auch eine neue Linie ist angekündigt. Anlass, einen Blick dahin zu werfen, wo die neuen Busse herkommen, nach Wroclaw.

Läuft alles nach Plan, so rollen spätestens ab Juni, vielleicht schon Mitte Mai, die neuen, geräuschlosen „Diffbusse“ durch die Straßen von Differdingen. Wie geräuschlos, das hatte der Hersteller Volvogroup jüngst in einem Experiment bewiesen, als er eine Bushaltestelle samt Ladestation für den „Volvo 7 900 Electric“ im Lesesaal einer Bibliothek einrichten ließ. Haltestellen in Gebäuden? Ohne Emissionen und Geräusche ist dies kein Problem. „Hätten wir früher gewusst, dass wir diesen Weg gehen, hätten wir dafür gesorgt, dass eine Haltestelle im neuen Einkaufszentrum ,OpKorn‘ eingerichtet wird“, so Bürgermeister Roberto Traversini.

Die Suche nach der Elektro-Lösung

Die definitive Entscheidung, die drei „Diffbusse“ durch vier neue zu ersetzen, fiel erst vor rund sechs Monaten. Aber schon vor Jahren habe man versucht, eine Lösung bei Scania zu finden, erinnern sich Traversini und Sales-Lentz-Autocars-Generaldirektor Wolfgang Schroeder. Gemeinsam habe man einen Prototypen gesichtet, doch Scania stellte das Projekt wieder ein. Zeit verstrich. Dann wurde Schroeder auf den geplanten „Volvo 7 900 Electric“ aufmerksam und informierte Traversini. Nach einer Ausschreibung stand fest, der Deal ist perfekt.

Es wurde beschlossen, vier E-Busse anzuschaffen, um die bisher drei Dieselbusse zu ersetzen. So kann auch eine vierte Linie eingeführt werden. Zwei Haupthaltestellen samt Ladestation wird es künftig geben, eine in Niederkorn und eine beim Parc Gerlache.

Die Kostenfrage

Eine Nachricht dürfte die 105 000 Fahrgäste pro Jahr besonders freuen. Die Nutzung des „Diffbus“ bleibt für sie gratis. Auf die Frage, was denn ein Elektrobus kostet, schweigt Generaldirektor Schroeder mit einem jovialen, aber vielsagenden Grinsen. Ebenso die Volvo-Vertreter. Also, gleiche Frage noch mal an die Adresse des Bürgermeisters: Der weicht aus.

„Derzeit kostet der ,Diffbus‘ die Stadt rund 800 000 Euro im Jahr für drei Linien. Künftig – bei vier Linien im Elektrobetrieb – werden wir etwa 1,2 Millionen Euro zahlen.“ Schroeder fügt schnell hinzu: „An sich kaufen wir (Sales-Lentz – Anmerkung der Redaktion) die Busse und bieten der Stadt ein Paket mit einer Gesamtlösung an“.

Die beiden Endhaltestellen werden mit Pylon-Ladestationen versehen. Diese erinnern ein bisschen an Hochleitungsmasten bei Straßenbahnen, nur ohne Kabel. Hier wird zwischen den Fahrten bis zu sechs Minuten geladen. Vorteil, die Pylonen gehören der Stadt, können aber auch von anderen Betreibern elektrischer Nutzfahrzeuge genutzt werden.

Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017



Eine neue Erfahrung für alle Beteiligten

Auch für die Volvo-Fabrik in Wroclaw ist der elektrische „Diffbus“ eine Premiere

Wroclaw (P). Drei Fahnen wehen bei minus sieben Grad im eisigen Wind vor der Volvo-Fabrik im Außenbezirk der polnischen Stadt, die einst Breslau hieß. Die schwedische (als historische Volvo-Heimat), die polnische (als heutiger Standort der Volvogroup – die übrigens keinen Bezug mehr zum gleichnamigen Automobilhersteller hat) und die luxemburgische. Vergangenheit, Gegenwart und Zukunft?

Dass der Hersteller von Bussen, Konstruktions- und Lastfahrzeugen anfangs dieser Woche die luxemburgische Trikolore hat hissen lassen, ist mehr als nur eine höfliche Geste zum Besuch irgendeines Kunden. Denn es geht um einen vergleichsweise kleinen Auftrag. Vier Linienbusse hat die Firma Sales-Lentz im Auftrag der Stadt Differdingen bei den Polen bestellt. Der erste ist fast fertig. Ende März wird er ausgeliefert.

Doch hier geht es mehr um Innovation als um Quantität. „Diffbus Nummer eins“ ist der erste reine Elektrobus, der in Serie produziert, das in den 1990er-Jahren gegründete Werk verlassen wird. „Volvo glaubt an die Zukunft der Elektrobusse“, betont der Hybrid- Team-Leader der Volvogroup, Erland Morelissen. Dabei deutet die Tatsache, dass der Hybrid-Mann für den E-Bus zuständig ist an, dass Elektro noch keine vollwertige Sparte ist, die Technik also noch in Kinderschuhen steckt.

Hohe Erwartungen

Doch schnell soll sie daraus herauswachsen. Es gibt drei Produktionslinien bei „Volvo Busses“ in Wroclaw, der einzigen Busfabrik der Gruppe in Europa. Auf einer werden Reisebusse hergestellt und auf zweien Linienbusse. Eine für Diesel- und eine für Hybrid-Fahrzeuge. Auf der wird auch „Diffbus Nummer eins“ gebaut.

Die Erwartungen der angereisten Politiker aus Differdingen, Bürgermeister Roberto Traversini und Umweltschöffe Georges Liesch, sind hoch. Die Ladestationen des „Diffbus“ seien vielseitig nutzbar. Liesch hofft, bald auch elektrische Müllwagen hier laden zu können. Morelissen zeigt Skepsis. Bis Volvo soweit sei, würde es wohl noch drei bis vier Jahre dauern. Aber der erste Schritt ist gemacht. Und alle Beteiligten glauben fest daran, dass noch viele weitere auf dem Weg der Elektromobilität folgen werden. L.E.

Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017

 

 

Gratis ist billiger

VON LUC EWEN

„Wir wollen mit dem ,Diffbus (...) auch zeigen, dass ein gratis öffentlicher Transport möglich ist“, so Umweltschöffe Georges Liesch (Déi Gréng) beim Besuch der Busfabrik im Videointerview (zu sehen auf wort.lu). All die Gefahren und Bedenken, die oft zum gratis öffentlichen Transport genannt würden, könne man dank der zehnjährigen Erfahrung mit dem kostenlosen „Diffbus“ widerlegen. Gemeint sind vor allem Sicherheitsbedenken. „Ein gratis öffentlicher Transport in Luxemburg ist möglich“, so Liesch. In einem späteren Gespräch fügt er hinzu, dass die Stadt nachgerechnet hat, und ein Verkauf von Tickets samt Kontrolle verhältnismäßig mehr kosten würde als ihre Einnahmen rechtfertigen. Zwei Fragen drängen sich auf: „Ist der Verkauf von Tickets im nationalen öffentlichen Transport dann nur ein Selbstzweck?“ und „Warum ist die öffentliche Dienstleistung, Autobahnen und Straßen zu bauen und zu unterhalten für deren Nutzer kostenlos und geht ganz zu Lasten des Steuerzahlers – während die Nutzung des Bus- und Bahnnetzes nach dem Prinzip ,Wer nutzt, der zahlt‘ verrechnet wird?“ Es scheint, als ergebe sich die Antwort auf die zweite Frage aus der ersten. Verkauf und Kontrolle erhalten zwar einige Arbeitsplätze, aber mit Blick auf die Finanzen sind sie zumindest fragwürdig und mit Blick auf Umwelt und Verkehr kontraproduktiv. Weg damit!

Luxemburger Wort vom Samstag, 18. Februar 2017

 

 

 

 

 

(in : Luxemburger Wort, 11. Februar 2017)

 

 

Die Tram ist da
TRANSPORT
Im Mittwochabend war es soweit. Nach einer langen Reise kam die Tram in Luxemburg an.
 

Nach langem Warten ist sie endlich da. Die Tram kam am Mittwochabend in Luxemburg an. Unsere Fotografen Jean-Claude Ernst und Alain Rischard haben sie begleitet. Sehen Sie die Fotos in der Bildergalerie.

Die ersten Waggons kamen nicht über die Schiene, sondern per Spezialtransport über die Straße in Luxemburg an. Hergestellt wird die Tram beim international renommierten Rollmaterialhersteller "Construcciones y Auxiliar de Ferrocariles" (CAF) im spanischen Saragossa. Die hochmoderne Straßenbahn entstammt der Typenreihe "Urbos 3". Drei Tage dauerte die Reise, ehe in Wasserbillig die luxemburgische Grenze erreicht wurde.

Im Dezember dieses Jahres wird das erste Teilstück der neuen "Stater Tram" eingeweiht. Die Testfahrten mit dem neuen Material und die Ausbildung der Fahrer werden aber schon ab Frühjahr stattfinden. Der erste Streckenteil verläuft vom neuen Tramdepot auf Kirchberg bis zur Bergstation der neuen Standseilbahn an der Roten Brücke.

 

(www.tageblatt.lu)

 

Kommentar :  Den éischten Tram vu Luxtram ass ukomm !

Fir eenzel Leit ass deen Tram dat aacht Weltwonner. Anerer rëselen de Kapp, oder et ass hinnen egal. Mir ass et an der Tëschenzäit och egal. Ech ka mech jiddefalls net méi fir de Projet Luxtram begeeschteren.

Et waren awer bestëmmt Leit déi an der Nuecht op der Autobunn stungen, fir hir perséinlech Foto vum éischten Tram ze maachen. Logescherweis wäerte si sech gesot hunn, dass Spuenien a Südeuropa läit, an dass de Camion mam Tram deemno iwwer Diddeléng an d'Land komme misst.

 



Oh, wat goufen déi ugeschass. De Camion mam Tram ass extra en Ëmwee gefuer an ass iwwer Waasserbëlleg (am Osten) an d'Land komm. Méi hannerhälteg geet et nun awer net.

Mä wat soll ech soen ? Et ass net déi éischt Enttäuschung, déi mer bei Luxtram erliewen.

 

Claude Oswald

 

 

E Minettstram op Pneuen ?

 

Am „Luxemburger Wort“ vum 30. Januar hunn ech e groussen Artikel iwwert den Escher Tram entdeckt, oder besser gesot iwwert den echten an de falschen Tram. De falschen Tram gëtt och nach „Superbus“ oder „Minettstram op Pneuen“ genannt. Ech zitéieren aus dem Artikel: „,Wir brauchen eine Tram‘, hieß es jahrelang in Gesprächen mit vielen Lokalpolitikern im Süden des Landes. Einige sprachen von der ,Südtram‘, andere von einer ,neuen Minettstram‘ oder einer ,Tram léger‘. Als es vor einiger Zeit hieß, das Ministerium bevorzuge die Einführung eines ,Bus à haut niveau de service‘ (BHNS) – von der Presse schnell ,Superbus‘ getauft – blieben anfangs dennoch viele bei der Forderung nach einer Tram. Nun hat sich dieser ,Superbus‘ durchgesetzt. Doch, nicht zuletzt durch die Hartnäckigkeit so mancher Südpolitiker, wird auch er das Wort ,Tram‘ im Namen tragen; als ,Minettstram op Pneuen‘.“

 

Wee sinn déi hartnäckeg Südpolitiker déi esou eppes néideg hunn, e Gelenkbus „Superbus“ ze nennen, oder schlëmmer nach, „Minettstram op Pneuen“? Hunn déi e Mannerwäertegkeetskomplex, well déi Stater e richtegen Tram kréien, an de Minett kritt just e Bus? Oder wëlle se hire Wieler en X fir en U virmaachen, wa se suggeréieren, e „Superbus“ hätt déi selwecht Qualitéite wéi e richtegen Tram, oder de „Superbus“ wier quasi en Tram ouni Schinnen? Ech fannen déi zwee Begrëffer „Superbus“ a „Minettstram op Pneuen“ ganz einfach lächerlech. Et soll een dach d'Kand beim Numm nennen a soen, dat ass en normale Bus, dee plazeweis séng eege Strooss huet. Punkt.

Gelegentlech daucht och de franséische Begrëff „bus à haut niveau de service“ op; mä och dee Begrëff ass irreführend. D'Leit stelle sech wahrscheinlech spontan vir, dass se an deem Bus besonnesch frëndlech empfaange ginn (wat awer an der Realitéit net de Fall ass), oder dass se eng Zeitung an eng Taass Kaffi ugebuede kréien (wat awer net de Fall ass). Dass de Bus méi dack a regelmässeg fiert, mëcht aus him kee „Superbus“, well mat engem normale Bus kann ee gradesou gutt en dichten Taktverkéier fueren.

Ech hunn éischter den Androck, dass de „Superbus“ alias „Minettstram op Pneuen“ e faule Kompromëss ass, wou et drëm geet, Suen ze spueren. Et soll groussaarteg ausgesinn, awer et soll nëmmen d'Hallschent kaschten. Meeschtens kritt een awer am Liewen nëmmen déi Qualitéit ugebueden, fir déi een och bereet ass, ze bezuelen.

Claude Oswald

Luxemburger Wort vom Samstag, 4. Februar 2017, Seite 16

 

 

 

 

Innenausstattung der Tram
Die Krux mit der "X"-Stange
Sehbehinderte empfinden die Haltestange in der Tram als gefährlich


Veröffentlicht am Donnerstag, 2. Februar 2017 um 06:00

(DL) - Das erste Tramfahrzeug ist fertig. Die Innenausstattung ist extravagant – und für die Vereinigung „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ problematisch: Für Sehbehinderte sei sie nicht sicher. Luxtram erklärt hingegen, extra Änderungen vorgenommen zu haben.



Im Tram-Modell, das bis Anfang 2016 in Kirchberg ausgestellt war, war eine Haltestange in „Y“-Form vorgesehen. Eine Expertengruppe wies in der Folge auf die Gefahr für Sehbehinderte hin.
Foto: Anouk Antony

Blinde und sehbehinderte Menschen, die ihren Weg mit einem Stock ertasten, berühren die Haltestange in der Mitte der Tram im unteren Bereich – und können so nicht erkennen, dass der obere Teil der Stange breiter ist. Darauf macht die Vereinigung „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ aufmerksam, nachdem Bilder des ersten fertigen Tramfahrzeugs aus Saragossa veröffentlicht wurden.

Als bis Anfang 2016 eine Nachbildung der neuen Tram in Kirchberg ausgestellt war, war noch eine Haltestange in „Y“-Form vorgesehen. „Schon damals haben einige von uns sich den Kopf an dieser Stange gestoßen“, kritisiert Roland Welter, Präsident von „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“. Eine von der Vereinigung Adapth ("Centre de compétence national pour l'accessibilité des bâtiments") eingesetzte Expertengruppe habe deshalb auf das Problem hingewiesen. „Chiens Guides d'Aveugles Luxembourg“ ist eines der Mitglieder besagter Expertengruppe.

Die Pläne wurden in der Folge abgeändert – die „Y“-Stange durch eine „X"-Stange ersetzt. Aber: „Das Grundproblem ist damit nicht gelöst“, so Welter – denn auch dieses Modell sei unten schmaler als oben. Gerade weil die Meinung einer Expertengruppe eingeholt wurde, kann die Vereinigung nicht verstehen, weshalb dies nicht geändert wurde.
Die Pläne wurden daraufhin abgeändert. Wie im ersten fertigen Tramfahrzeug zu erkennen ist, hat die Stange nun eine „X“-Form – womit die Gefahr aber nicht beseitigt sei, beklagen die Betroffenen.



Foto: Lex Kleren


Roland Welter zeigt Verständnis dafür, dass es bei bestehenden Transportmitteln manchmal schwierig ist, die notwendigen Anpassungen vorzunehmen. Doch handele es sich bei der Tram um eine neue Konstruktion. „Und dann so eine Falle?“, fragt er. „Unter uns spricht es sich herum, wenn etwas gefährlich ist – und dann wird es nicht genutzt“, befürchtet der Präsident von „Chiens d'Aveugles Luxembourg“. Denn eigentlich erachtet die Vereinigung die Tram als ein „großartiges, neues Projekt“.

 

(www.wort.lu)

 

Kommentar :  Ich habe persönlich die Erfahrung gemacht, dass Kritik am Designermodell von Luxtram nicht erwünscht ist. Die Direktion von Luxtram übt sich in Überheblichkeit und wird dabei von grünen Parteisoldaten unterstützt.

Das Beste wäre wohl, man würde ganz von vorne beginnen und statt eines kitschigen Designermodells eine Tram bauen, die den Bedürfnissen der Menschen angepasst ist.

 

 

 

 

Wichtige Knotenpunkte für die Tram

Neuer Busbahnhof Ende 2017 in Betrieb

Bauarbeiten für zwei „Pôles d'échange“ haben begonnen

 

 

(rr) - Ende dieses Jahres wird die Tram zwischen der Luxexpo und der Roten Brücke verkehren. Bis 2021 soll die ganze Strecke zwischen Findel und Cloche d'Or bedient werden. Eine wichtige Rolle spielen dabei die neun „Pôles d'échange“. Zwei von ihnen sind derzeit im Bau.


Seit Montag kann nicht mehr auf dem P&R-Parkplatz bei der Luxexpo in Kirchberg geparkt werden. Der Grund: Hier haben die Arbeiten für einen von neun „Pôles d'échange“ begonnen, auf denen bei der Verwirklichung der Tram ein besonderes Augenmerk liegt.  

 

Neue Busbahnhöfe und Auffangparkplätze


Entlang der 16 Kilometer langen Tramstrecke ist an diesen Umschlagpunkten das Umsteigen auf andere Transportmittel (Auto, Zug, Bus oder Fahrrad) möglich. Die „Pôles d'échange“ befinden sich in Höhe des „Héienhaff“ in Findel, bei der Luxexpo in Kirchberg, in Höhe der Roten Brücke, auf der „Stäreplaz“, am Hamilius, beim Hauptbahnhof, beim „Lycée Technique de Bonnevoie“, in Howald und beim neuen Fußballstadion in Cloche d'Or.

Bei den Nutzern punkten sollen die „Pôles d'échange“ u.a. mit Ladesäulen für Elektroautos, „Vel'oh“-Stationen, einer „mBox“ und einem kleinen Kiosk.

Der erste „Pôle d'échange“ befindet sich am „Héienhaff“ in der Nähe des Flughafens Findel. Hier werden ein „Park & Ride“ mit 4 000 Stellplätzen sowie ein Busbahnhof gebaut. Auch bei der Luxexpo in Kirchberg werden ein Auffangparkplatz (500 Stellplätze) und ein neuer Busbahnhof errichtet. Der nächste Knotenpunkt befindet sich bei der Roten Brücke. Hier wird die Standseilbahn aus Richtung des Bahnhofs Pfaffenthal-Kirchberg anhalten.

 

 

Die „Stäreplaz“ wird indes eine wichtige Rolle für die Busse aus dem Westen des Landes spielen. Auch die Arbeiten für diesen Knotenpunkt sind bereits angelaufen.


Die Passagiere sollen hier aus dem Bus aus- und auf die Tram umsteigen. Die Trambaustelle soll bis spätestens Frühjahr 2018 hier angekommen sein. Die Bushaltestellen und die Straßenbauarbeiten, die von der Straßenbauverwaltung verwirklicht werden, sollen provisorisch parallel fertig sein, so dass dieser Knotenpunkt funktionieren kann, sagte uns auf Nachfrage hin Dany Frank, Pressesprecherin im Ministerium für nachhaltige Entwicklung und Infrastrukturen.

 

 

Die Arbeiten an der "Stäreplaz" haben bereits begonnen.
Foto: Pierre Matgé

 

Struktur bei der Luxexpo bis Ende des Jahres in Betrieb

 

Bei der Luxexpo in Kirchberg wurde diese Woche die Baustelle installiert und mit den Erdarbeiten begonnen. Der neue Busbahnhof soll bis Ende dieses Jahres partiell in Betrieb gehen (Phase 1), d. h. die Umsteigestelle Bus/Tram wird dann auch mit fünf Quais funktionieren.

 

Ab Ende 2018 soll die „Busgare“ komplett in Betrieb sein mit zehn Bussteigen. Der P+R soll zu Beginn der Jahres 2020 gänzlich in Betrieb gehen.

 

(www.wort.lu)

 

 

 

Tram: 3,5 Hektar Wald müssen weichen

 

Luxemburg. Die Tram kommt noch in diesem Jahr. Die Strecke vom neuen „Tramsschapp“ in Kirchberg bis zum Flughafen wird über vier Kilometer führen. Vom Kreisverkehr Serra aus wird die Tram entlang des Zubringers der A1 fahren, um dann über eine Brücke über die Autobahn zu führen. Weiter geht es entlang des Autobahnkreuzes und der A1 bis zum „Héienhaff“. Hier führt die Trasse unter der N 1 hindurch zum „Park&Ride“-Parkplatz und dann zum Flughafen. Die Haltestelle soll sich in Höhe des Osteingangs zum Terminal befinden, erklärt Infrastrukturminister François Bausch (Déi Gréng) in seiner Antwort auf eine parlamentarische Frage von Marcel Oberweis (CSV). Zwischen Kirchberg und Findel soll die Tram mit einer Geschwindigkeit von bis zu 70 Kilometern in der Stunde fahren, sodass die Strecke in sieben Minuten zurückgelegt wird. Für den Ausbau der Tramstrecke müssen rund 3,5 Hektar Wald weichen. Hierfür soll es Kompensationsmaßnahmen geben. Wo genau die Bäume angepflanzt werden, ist noch offen. SH


Luxemburger Wort vom Mittwoch, 18. Januar 2017, Seite 22